de sôn milieu' une petite'apophyse inférieure*qui',s’enfonce dans
lîkttemU'e'des muscles^ et donne atstaehe g plusieurs ,çk leurs ,iaisceaux.
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L’,on^®it. à la- ba&e; des;.apopJays^ 5épnieuses sq p e r ie q j^ e s
3 premières vertébré! de langues aiguilles, sexnblabLes | H g
nous venons d’observer ^ lo n g des côtes ; elles sonuoutes parallèles
entre elles, dirigées un peu obliquement vers le dos d u p d gQ n ,
et M Ê È È K Ê H È Ê Ê È È k délies ^ n ô n s a y o n ^ ftd tq û e e s daubes |
muscles inférieurs- de là queue, savent en r e la ta n t-v e rd ie dos
- deJêbt» organe. Enftu,tie-long* de chaque'©6# de la ^ e u e -n o u s
à trouvons une,-suite de petites arêtes aourtos -disposées- Io n g ittfa
' nalement On peut donc retrouver facilement .la disposition d eg#
nombre si .considérable, des- arêtes du hareng, qui s e ^ pm g o f de
trente ptdres .de,jeôtess avec la^sene d& l e u r ^ m ; e n |^ g p p
horizontales, ayant 1W « B W M W W M "<>m*re OE ? I
attachées H base des apophyses épW se s^ u p é r ie^ e s;| g g | de
5 S m U fune H i l’autre i n f é r i e u r e trente-deux
paires (^apophyses interposées entre lesfaisceaux désîmusclesisaorb-
coocygiens, cetqui constitue donc autour de la- colonne vertébrale,
une double sériêdïarètes comprenant au .moins deux cent cinquante-
six' pàèces. A^-ce nombre il faut ajouter vingt-quatre inje^epineux
supérieurs, dont treke seulement se rapportent à, la dorsale,, e t ,
dix-huit interépiiïeux inférieurs pour sOut^iu de^ 3f '
'j e viens de donner avec détail la description/.aussi
complète ’ que fai pu la faire, d’un'poisson
milliona dans l’intérieur de nos-villes, et qu i, a g g g | g | »
est servi-sttr presque toutes les tableft f^ ‘0Sl
Paris ^approvisionnent1 de harengs pêches dans la Manche
et expédiésiptincipaleinent des po*rts de ©ieppe eü de Calais.
Chacun de ôës ports réunit lés’pêchés des bassins de
l’Océan qui les environnent. Il faut hien <Jüë ces Baàsins
aient chacun des variétés particulières de harengs; car les
marchands savent, très-bien distinguer par laspecfepla protÇH’AfyMlij
HARE-NjG(&. 35
venancerie^petSïpoisspns. Il n’eskpas difficile de reconnaître,
avgecmn peu d’habitûd-e_él!&ibareng de Calais,;' qui a le #cprps
allongé, un peu sîplati o u comprimé Sur les cotés et de le
distinguer du Hareng de Dieppe, qui'est plus arrondi et
plus trapu. Je crois que ées dilféreueesnde^ffbrmes extérieures
dependentfde l’époque variable du frai du poisson.
Nous vejçÈpp^ plus bas quegquelqu.es; naturalistes croient à
deux espèjg^s.de haMngs..,»:
Les plus ^grands exemplaires que nous recevons sur nos
marchés,m’ont guère-que dix ppueesà-dix pouces et demi
de longueur; mais nous voyons le hareng-'atjtgindré à'-des
dimensions beaucoup plus 'considérables dans les mers
du Nord. Nousreii1’ av©ns./rejdh du' Musée d é Berghém de
treize pouces, et demi1 de longùélirj.)' J ’ai examine avèc le
plus' grandïipin cest>grtand& individus, et je n’ai pu y découvrir
la moindre d if f é r e n t spécifique,, ,
i-Jp-ne remarque qui est importante, m’est que dans ces
mers .septentrionales, jusque dans la mer Blanche, tous
les individus o n t une grosseur invariable', *touj ours supérieure
àgçelles de nos harengs de la Manche, dont les petites"
dimensions sont également constantes. N’est-ce pas
une des preuves négatives-les plus évidentes à opposer au
système migrator.ial des harengs?,^Peut-on concilier dans
cettç hypothèse. la .grosseur invariable des premiers avec
la petitesse constante des -seconds, et admettre, en même
temps que nos.- bassins de la mersirirt Nord ou de la
Maiichq.së remplissent d’individus venant eri légions innombrables
des régions polaires?
Il faut nécessairement admettre la résidence de ces poissons
sur des, fonds différents où la diversité de Ja grandeur
et de hugrosseur, constitue autant de variétés ou de races