varié de nuances dorées, vertes et rouges, disposées
par bandes étroites, inégales, ondulées , et inclinées
vers la caudale, tandis qu’au-dessous de cette même
latérale on- voit des bandes plus irrégulières, plus
sinueuses, plus inclinées, et qui n’offrent guère que
des teintes vertes et brunes. Au reste, les pectorales,
les thoracines et l’anale du cyanoplère réfléchissent
l’éclat de l’or.
6 rayons à la membrane des branchies de l ’acoupa.
1 rayon aiguillonné et 18 rayons articulés à la seconde nageoire du
dos.
17 rayons à chacune des pectorales,
x rayon aiguillonné et S rayons articulés à chacune des thoracines.
1 rayon aiguillonné et 7 rayons articulés à l’anale.
20 rayons à la caudale.
LE CHEILODIPTÈRE MACROLÉPIDOTE
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LE CHEILODIPTÈRE TACHETÉ*.
L e macrolépidote et le tacheté ont été décrits par
Bloch. Le premier vit dans* les Indes , suivant cet
ichthyologiste. Les deux mâchoires de ce cheilodiptère
sont hérissées de dents petites , aiguës et égales. Ses
écailles sont grandes, mais unies et tendres. Sa couleur
générale est d’un jaune doré avec six ou sept bandes
transversales violettes. Les pectorales sont d’un jaune
clair; les thoracines d’un rouge couleur de brique; les
dorsales, l’anale, et la nageoire de la queue, jaunes
dans la plus grande partie de leur surface, bleuâtres à
leur base, et marquées de plusieurs rangs de taches
petites, arrondies et brunes* 17 *20 1 3.
1 Cheilodipterus macrolepidotus.
Sciène à grandes écailles. Bloch, -pi. 298.
’ Cheilodipterus maculatus.
Sciæna maculata, umbre tachetée. Bloch,pi. 299 ,fig. 2.
3 10 rayons à la seconde dorsale du macrolépidote.
i3 à chaque pectorale.
6 à chaque thoracine.
1 rayon aiguillonné et 10 rayons articulés à la nageoire de l’amis,
18 rayons à la caudale.