Au reste, complétons ce que nous avons à faire
connoître relativement aux couleurs des dix labres
nommés dans cet article , en disant que le noir tire
son nom d’un noir ordinairement foncé qui règne
sur sa partie supérieure, et dont on voit des teintes
au milieu des nuances blanchâtres et brunes dé son
ventre ; que les, écailles de l’argenté sont brunâtres
et bordées d'argent, et qu’une bandelette bleue paroît
au-dessous de chaque oeil de ce poisson ; que le
nébuleux offre des taches nuageusés bleues -et jaunâtres,
et quelquefois des raies longitudinales inégales
en largeur, et de diverses nuances de rouge ou de
violet; que le grisâtre est d’un gris tirant sur le Verd,
avec des raies longitudinales' jaunes, èt un liséré blanc
autour des pectorales; que la dorsale et l'anale de
l’armé sont blanches et bordées de noir, pendant que
sa caudale est brune et lisërëe dé bl&nc; que l’on peut
compter, sur chaque côté du long-museau , quatre ou
cinq petites raies longitudinales , et trois ou quatre
séries de taches très - petites et éloignées l’une de
l’autre; et enfin, qu’une couleur brune, ainsi qu’une
bordure blanche, distinguent les écailles du thuhberg.
De ces dix labres, il en est deux, le c h a p ë j e g e t le
lo n g -m u s e a u , qu i iae soimt pas encore ebinnus.des naturalistes
, et dont nous avons fait gravér la figure
d’après des -dessins de Connnerson. On lés trouvé dans
le grand golfe de l’Inde et dans les mers voisines de
ç e golfe. C’est aussi dans ces mêmes mers, et parti eutM
Ë Ê M m
uuàcl ~ ~ ----------~ • Jiïa rÿ. JRenoU' JÎcùLp ■
J. LA B R E lonymuseau. . 2 . LABRE Sic-^BaiiLes 3. LA B R E Macrojastère. .
1 M