doxus. Ne trouvant rien de plus paradoxal à cet Ëpicyrte
quaux antres espèces, et ne croyant pas devoir le séparer
génériquement (ayant d’ailleurs employé le mot d’Exodon
pour un genre de Siluroïdes, établi depuis plus de quinze
ans dans nos collections du Muséum), j’ai pensé qu’il était
convenable de donner à cette espèce le nom spécifique
inscrit en tête de cet article, afin de conserver, autant
quil dépendait de moi, le travail de mon célèbre ami.
M. Muller a décrit ses poissons d’après des exemplaires rapportés
de l’Esséquibo et de ses affluents par M. SchomburgE