subdivision Là-discussion à laquelle je me ii^re sur chacun
des1 genresc:suivants apportera de nouvellesépreuves à l’appuide/eette opinioâ.-* *
L énumération de toutes ces esp|çë^nous Conduit
insensiblement à celle des nombreux petits poissons de.
nos,mers, et surtout de la Méditerranée, que j’avais, cru
pouvoir séparer plus nettement des Salmonoïdes. que je
dois le faire, aujourcÛhui, aprèsen .avoir âétudié.tûutes
les^nombreuses modifications: Je.pensais que le caractère-
des.îSalmonoïdes- reposait sur la forme de l’arcade d e là
mâchoire; supérieure, constituée-,par les maxillaires -etèles^
.intermaxillaires. Je croyais que le maxillaire'nentrait pas
dans la ^composition d é ta x é de la mâchoire-rsupérieure
desScopèles. Delà *ëst vrai pour quelques, genres, mais on
ne trouve plus ,ce caractère dans les Gonostomest; qui
lient par un passage,insensible les/Scopèles aux autres
Salmonoïdes. Cette conformation appelle alors dans la
grande famille des »Saumons tous les Saurus et semble la
compléter. “
" / ( c h a p i t r e 1 % .
M. Cuvier a pris dans MarcgraVe,le nom de Gurimate-,
pour désigner un égenre de ’ Salmonoïdes admis des là
première édition#du Règne animal. Ce tsontsf? dit-dl, des
poissons qui ont toute 1 Informe extérieure des Ombres,
leur petite boueh’éyet dont quelques-uns leur ressemblent
plus' spécialement par.d’absence dlî<!detft& «visibles; üsj
n’en diffèrent que par le nombre des rayons branchiaux.
Pour fixer ^davantage les idées sde^ses lecteurs /al renvoie
au Salmo edentulus de Bloch, et probablement au Salmo
cyprinoid.es de Linné ^ a p real G r ono vius. Puis il ajouté
que la plupart dë§-, espèces on t encore quelques singularités
à leurs dents, et il établit, d’après vcelay plusieurs
subdivisions, qu’il her caractérise vpras> suffisamment: Cependant
il désigne nëttement les dents des Hémiodus,
èn disant quelles sont tranchantes e t denticulées comme
celles des Acanthures. I l , fallaïtirajouter peu de chose à,
cette comparaison fort juste, pour compléter la diagnose
de ce groupe. Dans une troisième côüpe il met aussi les
naturalistes sur la voie, en disant que les poissons de cette
subdivision ont les dents antérieures tranchantes et com-
parables à celles des Balistes. Sans qu’elle soit, complète,
on ne peut, nier que ce ne soit une grande partie de
la diagnose des Leporinus. Apr^^et^ç) publication et
quelques années avant la seconde édition du Règne animal,
Spix d’abord, puis Mr. Agassiz vinrent modifier le