LA FABIONELLE de^jay. '•'* ». * ; ! ; \ - f r tH W M ’/ l 'J
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inférieure, sur les palatins ; .ht Jangue^n^a de .chaque côté
une Rangée sembl^hh^l- cèlle d’en haut. Oa^vçpt donc, je
ne crains pas de le répéter ,-.que^e poisson a quelque affinité
,pax la forme des m â choir essaie c |le,s ,espè ces du groupe
des Sauras, sans en présenter cependant aucun des caractères.,
en même temps que les dents* ne^ont -paSisans analogie
aVèc celle de nos truites'■blrest d’ailleurs Ce que la
dèsériptiôn détaillée de t’espfjo va prouver d’une manière
encore pliMcomplète.^ J
. La FARipÿî"ELLE d e " G a y .
(F a rio n e lla G a ji, nob.}<
La s euleresp èce« connueà dje^e^ge n re*raT
le corps allongé, arrondi sur Je*qdl^%Vur le ventçe, et légèrement
aplatisur les côtés. La plus grande hauteur se mesure, aux ventrales,
l 'et elIeVst du septième de la lông&eur totale.“L’épaisseur n’est guère
que'moitié dëdcette hauteur. Là longueur de la têïé ësï&cinq fois
et demie dans cette même “longueur totale./Le museau est gros et
arrondi. Les deux mâchoires' sÔift égales. L ’oeil est.-^e grandeur
ordinaire, placé sur le haut de lâqduë j son diamejre est 'le quart
de la longueur déjà tête; il est éloigné du.bout du museaju d’un
peu phs que la longueur 4Ttiq«âmefaèe, Les soù§-.orbitaires sont
très-petits. Je n’en vois pas.rqême au bord postérieur*, de l’oeil. Sous
ce rapport, ce poisson a, de l’affinité avec plusieurs espèces voisines
des Scopèles* Les deux ouverture^de la narine sont plus près de
l’oeil que 'du bout du* museau, et tôiït à fait sur le haut. La bouche
est peu fendue, car l’extrémité, de 1 intermaxillaire ne dépasse pas-
l’orbite. Les lèvres..sont- assfez épaisgès.’,Toute l’arcade dentaire est
bordée par.un intermaxillaire.étroit, qui rentre en partie sur le
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