EÈICYRTE Td ’ * j f ^ JE^ÏGyiiTE^S^^^^^oy/iùs’, ÆuIZer.
manirèje - que;qdaiis nosWjdifféremts - Piabuqties. Ainsi ', Jfe|
cefJM^est plus ou m;©ïiis*^mprimë|pe ventre plus oA
moins tranchant, Fanal’e plus1 où moins allongéev;Les deux
espacés^^^d’ailleurs^^^iïtèstrn'é’ peu àllbrigésf, ne faisant
quW'e* se ule^ cirèonyôlutiqn|^Les appen(Jië|> pyloriques
sont au nqntjare dé six ou d e jà ^ t.
J’ah^fjjÇiepté l^r pqm $Epiçypftü&j aqpoique æM-regret té;
que Ma Mulleri^^aitî'paSr^O'P^qïyâiy'&ljttï que .Gronovius
avait donné â g &e-i genre dé péisson danséson 'jMuseum
ichthyolbgicum. Il me paraît|éyi'dent qu’il eswlâ. premiéfjl
pen^éié^ du' .gëiri'é , Cii^rai, ^de'.iceü’ illustre naturaliste ; je
n’àurais|pas ’même Jj,^||e/aMï6vnserver détie\ifé^bmination,
qe -préférepcéi^|Snéi^e^luller,, su^rp^ë^ius navait lui-
même altéré aoq’gemçq; Charax par lesnespèces qui y sont
réuni’^|dan%le Zoophyfaciiim^
^ ’Ê p iG Y ^ T E y jq S S U. !l
’ \{Epïcyrlust gifybpsuft Muller.
Le poisson décrit èt figuré par Gronovidsplet qui a
servi 'dé type 'a# genre Epicyrtus, établi avec "'raison par
M. Muller, eat très-remarqüaBle
par la, hauteur, de son corps, au-dessus de la nuque, et par sa conir
pression. , On voit, en,,effet, la ljgne du profil s’éleyer rapidement
« dèalajinuque jusqu’à, la dorsalej pujs, a,u delà ;dq,cette nageqirei’
elle redescend d’aéoed subitement(pour s q frendre a ,1a q u eu q ,en
'|i|suivant une courbe un, pe)|. nqncàve, La courbure du yentré est
n régulière depuis dmgQPge jusqu’à la caudale. La plus grande hauteur
du tronc,est un peu èn avant“ défia-dprsale, et est^cèmprise deux
fois et deux tie&s dans la longueur tota^q, L’épaisseur du tronc n’est
■ "guère que?le quart-de cettehautetm La té te eq t courte, aussi hante
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