B. Du genre'Mylée
M. Muller a établi sous bé nom u 4 liînre qui comprend
des‘espèces très^-voisines des Mylèïes.^Elles ont deux
rangées de dents sur les4ntermaxiÜai£es; les extetnés comprimée!
et tranchantes5,’les mteines>ràfcouronne tronquée,
comme' d e f molaires,'dont le bord pd$îgeur est relev<|
et coupant. Il n ÿ j'p b in t de dents sur les maxillaires. Cette
description montre doné^que Jamâchqir$ supérieure des
Myleus ressemble tout aJÿif à/cel|e des My|è^|^Ijes^dants
de la mandibule inférieü^e sont sur un spul rang, pointues
.tranchantes le long du bord antérieur. Il n j|;^ p a s
d é dents coniques dérnirë les mitoyennes: Ce,* caractère
distingue ces poissons deis Mylètes et de meS.TométeS.
M. Muller ajéute que lé corps est comprimé; q u e l’àbdo-
menéest caréné et dentelé; que vers 1 anus il ly^e deux
rangs d’aiguillons ; l’ouverture des branchies est large ; les
dents pharyngiennes sont en.velours;.la dorsale, (aveVson
aiguillon courbé en avant, répond a l’iutervalle qui sépare
les ventrales de l’anale. M. Muller a indiqué deux espèces
de ce genre; je n’en ai vu qu’une, dont voici la description.
Le Mylée sétigère.
\ {Myleus, setïger, Mull.)1
La première espèce de ,pe genre ressemble tellement, a
mon Tometes trilobatus que j’ai; hésité longtemps à, l’en