1820. E. sijhatkum p minus Walilenl),, Fl. mec., Ed. 1«, p. 689.
1831. E . Drummandü Hooker, Engl. Bet., suppl. 2777, et Bril, flor., p. 434.
1830. E . Ekrharli G. F. Meyer, Chlor. Hanov., p. 006.
18-13. E . Drummandü Baliingt., Man, hrit. hot., p. 380.
! 1845. E. nmhrosnm Kocli, Syn. ¡1. germ., Ed. 2», p. 965.
! 1844. E. umlrosiim Newni., Brit. ferns, p. 63.
! 1857. E . pratense Bemolli., Gef. Krypt. Schw., p. 70.
! 1858. E . pratense Milde, Gef. Crypt. Schl., p. 437.
4 E q u is e t u m a r v e n s e L.
A parler exactement, cette espèce est sans synonymie, le type ayant conslamment
conservé la dénomination linnéenne.
La grande formefîCTiorosMHî paraît avoir été prise par Rolh pourl’B . pratenseEhvh. ;
elle aurait élé ensuite, selon M. Bernoulli {Gef. Krypt. Schw., p. 66), prise par De Candolle
pour l’B. fluviatile L.
Une forme très-grêle et très-réduite, avec ramification anomale à la base de la lige
spicifère, serait, selon M. Milde {Gef. Crypt. Schl., p. 417 et 419, et Syst. Eq., p. 142),
l'E. riparüm Fries.
L ’anomalie de tiges rameuses terminées par un épi a été décrite comme espèce par
K. F.Schullz,soiislenom à’E. campestre. Yaucher ne mentionne point cette anomalie;
il dit au contraire très-expressément : « Je n’ai jamais vu dans cette espèce les tiges
«stériles porter des fleurs» {Mon. Prêl., p. 362).
Cet auteur ne mentionne pas davantage l’anomalie de tiges spicifères propres
rameuses à la base; mais M. Bernoulli nous fait connaître {Gef. Krypl. Scino., p, 66)
que l'herbier de Vaucher (appartenant actuellement à M. Alph, De Candolle) renferme
celte anomalie notée: E.palustre, avecune hampe particulière. On trouve en effet dans
la Mon. des Prêles une variété de TB. palustre ainsi mentionnée:
« B. Equiselum nudum vaginis dilatatis, p. 367.
« 11 y a une seconde variété où la tige qui porte Tépi est couverte de gaînes dilatées
4 dépourvues de rameaux. Dans cet état elle a des rapports avec les prêles à hampe »
(p. 308). I l est très-probable que ces termes se rapportent, comme la plante de Therbier
de'Vaucher, à l’anomalie précitée de TB. arvense, au moment où elle offre à peine des
rameaux naissants, et que le savant auteur de la Momyraphie se sera lui-même
induit en erreur en donnant au caractère fondamental de sa division des espèces une
valeur absolue (voir ci-dessus p. 165).
1552. Hippuris minima Tragus, De stirp., p. 693.
1586. Equisetum. alterum sive minus Dalech., Hist., 1070, fig. 1, 2.
1625. IX. Ë . arvense longiorihusseUs C. Bauh., Pin., p. 16; Theatr., p. 247 (icon ad dextram bona).
1651. E . mmis terrestre J. Bauli., Hist. pl., I I I , p. 730.
1742. E . caulibus floriferis a foliosis diva'sis Hall., Enum. stirp. Helv., p. 144.
1753. E. ARVENSE L., Sp. pl., Ed. 1®, p. 1061.
Texte de Linné (Sp. pl., Ed. 2®, p. 1516).
arvense. 2. E q u is e t um scapo fnicüficanle nudo, storili frondoso.
EquiseUim scapo fructificante nudo, caule sterili ramis composilis. Fl. suec., 833;
928. Mat. med., 479. Dalib. paris., 308.
Equiselum selis quadrangularibus internodio longioribus, caulibus reptanlibus. Guett.
stamp., I , p. 201.
Equiselum selis simplieibus internodio raultolies longioribus. Roy. lugdb., 496.
Equiselum arvense. F l. lapp., 390. Hort. cliff., 471. Gron. virg., 123.
Equiselum arvense longioribus selis. Bauh. pin., 16.
Equiselum minus. Fiichs. hist., 323.
1768. Ë . caule florigero nudo, sterili verticillato, radiorum duodecim Hall., Hist, slirp. Helv., n® 1676.
11777. Ë . am)isePollicli,//¿sí. p/-.Píí/flí.,III, p. 6.
1778. Ë . arvense Lam., Fl. fr., I , p. 6.
! 1800. E . arvense Rolh, Tent. fl. germ., IV, p. 5.
1805. Ë . arvense DG., F l. fr., I I , p. 581.
1807. E . arvense Lois. Desi., Fl. gall., Ed. 1®, H, p. 700.
1810. Ë . arvenseYTiM., Sp. p l.,Y, p- 1-
! 1822. Ë . arvense Vauch., Mon. P rê l , p. 361 (exclud. syn. E. amphibolium Relz,).
1828. Ë . arvense Duby, Dot. ga li, I , p. 534.
1835. Ë . «îwîiseMutel, Fl. fr., IV, p. 166.
11844. E . armiseNcwman, Drü. ferns, p. 77.
! 1845. Ë . ariiense Koch, Syn., Ed. 2®, p. 964.
! 1853. Ë . arvense et v'®* Milde, Kenntn. Eq., p. 560 el suiv.
1856. E . arvense Gr. et God., Fl. de Fr., I I I , p. 643.
! 1857. Ë . arvense Dôll, Fl. Bad., I , p. 59.
! 1857. Ë . arvense Bernoul., Gef. Kmjpt. Schw., p. 65.
! 1858. Ë . £irve;is2 Milde, Gef Crypt. Schl., p. 417.
! 1861. Ë . arvense Cosson el Germain, Fl. env. Paris, 2® éd., p. 877.
p nemorosum Al. Braun.
1620. ? \ T Ë . palustre tenuissimis et longissimis setis C. Bauh., Prod. p. 24. Pin., p. 16. Theatr.,
p. 245 (au confusum cum E. maximo el limoso?).
! 1800. E . pratense Roth, Tent. fl. germ., IV, p. 6 (non Ehrh.).
1805. Ë . fluviatile DG., Fl. fr., I I , p. 583 (ut vult Bernoulli; valde dubito).
! 1843. Ë . arvense p nemorosum Al. Braun in Dôll, Rhein. FL, p. 27.
1857. Ë . arvense p iiemoi'osum Bernoul., Gef. Krypt. Schw., p. 66.
Y decumbens Meyer.
1836. E . arvense decumbens G. F. W. Meyer, Chlor. han., p. 666.