C H A P I T R E X L Ï Ï .
D ispDs it ïoNs d’üN V oyage à Sénn-âàr.
’C ôVl'PLôB EN' tRE LE CHER DE LA Tjl V : K
1 S ? W Ë f f a l ■ v ¿ » A i 4 r a S « : C aràV'ane de N ubiE e E lT n t é r Br è t e
‘ SyRïèn , BouR assassiner l’A u t eu r ,
OBLIGÉ DE RENO’NCER AU VOYAGE
. d’Abis s inie.— C aravanes de N ubiens.
Singes . — RE/r ruches. — Nubiens.
V i si té a un C amp de B édouins.
PëRc n o p t è r e s .— C o p t e s .— Re p as .
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F rot toirs pour les Pieds .— A bri cot
s . — Melons d’E au. — Melons.
D a t t e s .-— C hanvre , sa P roprié té
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ENIVRANTE.
«J’ai dit qu’un Ibrahim Kiaschef s’occupoit
à percevoir les droits auxquels une caravane
de Nubiens, arrivée à Siout3 étoit assujétie.
Je le voyois souvent ; il avoit un caractère
fort doupc, et il me témoignoit beaucoup
d’affection. L ’important service qu’il m’a
rendu est une preuve de l’amitié de cet
honnête Mainelouck.
Le voyage d’Abissinie ne sortoit pas de
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ma pensée. Je trouvais à Siout l'occasion
la plus favorabW pou,r l’entreprendra Une
■ U À 1 • ' ■ I I J t « . W 1 J B ’ 1 / j L / ^ • _ > • P * m V caravane de nègres étoit prête à en partir
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pour retourner à Sennaar, capitale .Je la
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Nubie, d’où je comptois passer dans le pays
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des ^bi^sin,s. IWfes dispositions étoient faites j
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tous nies arrangemens étoient pris, avec le
chef noir de la caravane ; enfin, j’allois partir
voyage1 ^ . "r V 3 * > ’ • k r 4 ht r D i J ^ > * * - •*- %*
pour cç long lorsqu’on incident me
força à y renoncer pour toujours,.
L ’emploi d’Ibrahim lui donnoit quelqu’em-
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pire sur les Nubiens, de la caravane, Jç l’en- - '• l ii 'ïBJf' . . If F? H■ • v:*l
gageai à user de son crédit pour traiter de
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mon voyage avec le chef ou JSabir :j ç’e s t
ainsi que l’on nomme çn N,ubie les hommes
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puissans, du mot arabe K èhi r . qui signifie
grand. Le Nubien demanda d’abprd une ’ rt ^ .a r i , v i \ S ^ T 7 - 1 j ° Ç l ' i l r \ • I ’ ^ a» a*^ v > ^ 4 \£ -P '«^ç. ltwt A - •* ; # v *v * v . ? ¡p3W* - .F t j t y t g y ■ y• y ji n j» j r ç £f. S\ *! i* r>w i ÿ il]
somme exorbitante. Nous eûmes à cet égard
plusieurs pourparlers chez Ibrahim , par
l’entremise de mon interprète maranitç. Mais
le Kabir, ne voulant pas rabattre de ses
prétentions, je le quittai sans, rien conclure. f ' n ® # • * • < * > . » rt 4j0 ' r £ k > T V r ^ r- /
Quelques jours après, ce même Nubien tint
me trouver dans ma maison : il étoit plus
raisonnaUle. Son prix ,, qu’il diminuoit de
, étoit encore excessif. Cependant
il voulut me parler .en particulier. Apr
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