les chambres et se posent presque sur les
personnes, pour chercher à manger ; enfin
une multitude-de huppes. Tous ces oiseaux
formoient, à Siout, une seconde popuïàtion
non moins noiÿreuse, mais plus paisible
que l’autre. - '. ; î ^ I.', V y _ y e » — ■ * * - * ^ ■ t * *
C H A P I T R E X L I.
Pratique d e *la Médecine en E g y p t e .
F — Part icularités a c e su je t . — MÉ-
*_ '■% 4« . ,< • • , . A . v. X • V 1 1 ^ . .Vil1 ; . . • * * vfr* » - Ar I • ji > ^ . .1 \ * * ... * r . J ja jA . . *. A ». fl *. n~
decins E g y p t ien s .— E spèce de L è p r e .
k. • V % ' j ai J c - v w* I. • A |
— Ophtalmie v iolent e dont l ’A u-
_ * • 7 'y ^ *: i. . S V- . » / ^ . ’ * Ti ’ 1 ai > * . , Jfï f j y . v f |' »1 i V.' * . W-L. * * * 4 * / ï « Lb v<t*LwlfcJ **’v •fr
teur est a t t a q u é . — L oyers des
V .""k'-\«èx".: V * f e 'S S i l î a ^ ^ f e S S . fc J g g £ g -> ff-cp3 r S B ^ iB ^ v ü P v , jm
Maisons en E g y p t e . — C irconcision.
I ;— Pluie dans la Haute E g y p t e . —
R echerche de T résors . — P erf idie
de l’In t e r p r è t e Syr ien .
M A renommée en médecine avoit acquis,
a 0 beaucoup d’éclat. De tous côtés l’on vendit
me consulter et les grands m’appeloient dans
leurs maisons. Tout le monde vouloit essayer
du médecin d’un su/tan d’Europe, que Mourat
bey chçrissoit, et qui faisoit j par les ordres
du Scheick el Belléd, le voyage du Saïd,
tout exprès pour donner ses soins au prince
arabe, le plus puissant de l’Egypte. Ün autre
attrait qui ne Jaissoit pas que d’augmenter
la foule, c’est que consultations , visites ?
remèdes mêmes, tout étoit gratuit.
0 t * , • V | ■ ^ ^ . p l . y • « h V
L’art de la médecine a , dans ces con