Canope, aujourd’ hui Aboukir. I . 383. Ses ruines.
(3go e t suip. (pl- V )• Son luxe., 894• Sa décadence.
3^^* , _ - , - p
Cannes à sucre. Une des fiches productions de lf i-
gypte. I I . 262. Sa culture y peut être peiieû-
tionnée. ib. ■ . ; -
Canopique.. Branche du N il. E 2,2.6. î '
■Capucins, ( couvent de ) à Païenne., I , 5l . Caveau
curieux que l ’on y montre, et où l’on conserve les
morts habillés et rangés .debout, ib.
Carapane. L ’on appélojt ainsi le cabotage que les
pavirf s .fraqçois faisoient d«os le? mers du Levant aux
dépens des Turcs, et qujdtpit une source de richesses
pour le commerce et pour la marine. I , 8 9 . — De
Nubie. I II. 85, Disposition dé l’Auteur, à Siout,
pour partir avep une de çes caravanes. I I I . 85.
Erreur de M. Bruce à jeur sujet. 9 1 . Marchandises
qu’elles apportent aq Caire, 9 2 •
Carayanseraïs de Turquie et d’Egypte, L 34^.
Carousse. Voy. loup , pçisson.
Carrières près du CairC. Adamere de, les exploiter. I .
3"]Q. , .
' Çafjçbç. aptèrp B insecte,dp« sablçs du désert. I . 4 x 1 .
C art. h a me. Cultivé en Egypte. I I I , 33, C’est une des
cultures des plus productives de ce pays. 34.
L ’Auteur cultive pultç plante dans, sou département.
ib, " _
Cassis. Se« tnannpaçJurÇ^. ¡pMo effiâih .Ï#,'1 bon
Catacombes. Description de .çeJÎestde M-aîfe;.I. J2.
Descriptipn de celles d’Alexandrie, I. x5x.
Catholiques H Persécutés par, les.
autres Goptes. iô. Trçs-nqmbrey.x à Kdh'mnnm. l 3y.
, Leur Qpuuçn sur les momes cl Europe. X38,, 8ont
- ’ poihbrepx à,,Négnadéf. 19^, • . t . .
’ Cautjrfsaiion par le feu ,.est un des remèdes; généraux
que ,les médecins d’Ègypte, emploient. I I J . '71. Particularités
à ce sujet. 7 2 . . . .
Çédrat. Commun dans les jardins] d Egypte. IL OQ».
Çérigo j .fle- de la mer Egée. I. 95, ^ , v v Q 7
Cérigotte, rocher près de l’île dé Gérigo. I. 96.
■Cette. (Voyage à ) I. 19.
Chackal. Commun aux environs d’Alexandrie. I .
154-398. Nom qu’il porte en Egypte. i 55. Se
trouve dans les sables près des habitations. I.
408.
Chameaux. II n’y en a point, en Egypte , de véritables
, c’est-à-dire à deux bosses. IÎ. 118.
Chanpre. Se cultive dans les plaines de la haute
Egypte, seulement pour en faire des préparations
enivrantes. III. io 3. Manières de faire ces préparations.
ib. Différence de cette espèce de chanvre aveç
celui d’Europe. io 5.
Charanson trouvé dans la haute Egypte.. I I I . 319.
Chat de mer. Poisson des côtes d’Egypte. I. 217.
Château des femmes. Voyez Sainl-Macaire. — Du
Caire, I I . 35o.
Chats. Sont aimés par lës Musulmans. I . 3l 6. Etoiept
en vénération dans l’ancienne Egypte. 817. jÉIl y
en a dans toutes les maisons de l’Egypte, où ils
sont très-doux et très-familiers. 320. Comparaison
de ces chats avec ceux de nos pays. ib. Chatte ,
belle et aimable que l’Auteur a nourri. 321.
Chepalier, oiseau commun sur les côtes d’EevDte.
I . 2 2 8 . . . . - '
Chenaux d’Egypte, mal-à-propos dépréciés, en
France* I I . 335. Leur description , ,.336. Leur
comparaison avec les\chevaux arabes, ib. Les anciens
les recherchoient. 33y. Buonaparte les regarde
comme les meilleurs chevaux du monde. 338. N’ont
que deux allures. 33q. Alain or e de les soigner. Ib. et
suip. Qn n est pas dans l’usage de les hongrer. 3a i.
Ils joignent a la plus belle conformation la douceur
et la docilité. 342. Différence des chevaux des Arabes
domiciliés, avec ceux des Bédouins errans, 344. Les
Européens ne potfvoient les monter au Caire, ib.
Chepêche. Commune dans la basse Egypte. I . 3a q .
Chèpre de Syrie. Espèce que l’on nourrit dans la
■ basse Egypte. I I . 77. La chair de ses chevreaux
. & est pas bonne à manger. 78. Sa fécondité. 79. Chè-
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