
 
        
         
		Pontoppidan, il  n ’en exiftoit point  
 en  No rw èg e   avant  l ’année . 1718,   
 11 o . .  .  O n   connoit deux  efpèces  
 de  ces  animaux  au  cap  de  Bonn£-  
 efpérance,  u j . 
 .LOVTRE,  E n  N o rw è g e ,  cet  animal  
 fe  trouve  autour  des  eaux  fale'es  
 comme  autour  des  eaux  douces,  
 1 5.8, 
 L o u t r e ^  de Cayenne ;  on  connoit  
 trois efpèces de  loutres  à Cayenne ;  
 notice  à  ,c.e  fujet.,  ?  J § .   .  . . . .   
 L ’une  de  ces  efpèçes  qui  efl  la  
 plus  grande,  le  trouve  également  
 dans  les  terres  d’O y a p o c k ,  159. 
 L  O u T R E ,  petite  loutre  d ’eau  douce  
 de  Cayenne;  figure  &  defcription  
 de  cet animal,  1  5 9 Ù“  1 60.  , 
 L y n x   de  Canada ;  figure &  defcription  
 de  cet  animai,  2 2 9 , . , . .   
 II  forme une  variété  difiitiéie  dans  
 i ’efpèçe  du  lyn x   ou  loup-cervier  
 de  l ’ancien  continent,  230. 
 L y n x   ou  L o u p - c e r v i e r ,  
 quelques-unes  de  fes  habitudes  
 naturelles,  23 o  i r   23  1 . 
 M 
 M a e e s .  E n   comparant  le  
 nombre des  mâles  au  nombre  des  
 femelles  dans  les  animaux  quadrupèdes  
 Çt  dans  les  oifeaux,  on  
 trouve  plus  de  mâjes  que  de  fe-  
 tnelles.  dans  les  efpèces  naturelles  
 &  pures,  &   ce  norpbre  des mâles, 
 relativement  à  celui  des  femelles,  
 efl  encore  bien  plus  grand  dans  
 les  efpèces  mélangées,  telles  que  
 Jes.mulets ou métis qui proviennent  
 d ’individus  de  différentes  efpèces,  
 fait dans les animaux quadrupèdes,  
 foit  dans  les  oifeaux,  1 5 . . . . . . 
 L e   mâle,  en  g én é ra l,  dans  les  
 animaux  quadrupèdes  &   dans  les  
 oifpaux,  influe  plus que  la  femelle  
 fur  la  génération ,  Ibid. . . . .  M ais 
 il  produit  plus  difficilement  que  
 la  fem e lle ,  avec  des  efpèces  différentes  
 de  la  fien n e ,  5 1 . 
 M a n g o u s t e .  Figure  d’une  
 grande  mangbufle,  &  notice  fur  
 cet animal ,  173. 
 M  A R G AI .  Notice  fi.tr  les habitudes  
 naturelles de  cet animal , 2 2 6 . 
 M a r m o t t e   bâtarde  d’Afrique.  
 Voyei  M a r m o t t e   du  cap  de  
 Bonne-efpérance,  17 7 . 
 M a r m o t t e   du  Canada;  fa figure  
 &   fes  différences,  avec  les  autres  
 marmottes  1,7 5 .  .  .  .  C ’eft  plutôt  
 une  efpèce  voifine  qu’une  fimple  
 variété  dp  la marmotte  des Alpes  , 
 M a r  m o  t T e  du  cap  de  Bonne-  
 efpérance, ;  fa  .figure  &  fa  defcription  
 ,  par M . "   Pallas  &  V o fm a ë r ,  
 • 7 7   &“ fuivantes. . .   .  ,  Habitudes  
 naturelles  dé cet animal , 1 7 8 . 
 M a r m o t t e ^«  Kayntfchatka. 
 3  .  H;<?tjc.ç fur  cet  animai,  1 7 6 . 
 M em in a . 
 d e s   M a t   
 M em in a .  Voye%  C h e v r o t a in ,  
 i 02. 
 M é t i s   o u   M u l e t s .  Compa-  
 raifon  des  métis  ou  mulets  provenus  
 du bouc  &  des  brebis  avec  
 des  agneaux,  5  &  fuivantes. . . . .   
 Proportion  du  nombre  des  mâles  
 à  celui  des  femelles  dans  les  métis  
 ou mulets,  1  y . 
 M o n a x.   Voye^ M a r m o t t e  du  
 •  Canada,  175; 
 M o u f f l o n   ( le)   efl  la  tige  primordiale  
 de  toutes  les  races  de  
 béliers  &  de  brebis.  . . . .   II  efl  
 d’une  nature  affez  robufte  pour  
 fubfifter  dans  les  climats  froids,  
 tempérés  &   chauds.  . . .   Sa  race  
 qui  étoit  autrefois  commune  en  
 C o r fe ,  n ’y   exifte  p lu s ,  ou  du  
 moins  ces  animaux  y   font  très-  
 rares ,..72. 
 M u l e .  Exemple  récènt  d’une mule  
 qui  a  produit  un  petit,  1 6 . . . . 
 II  efl:  prouvé  par  les  faits,  que  la  
 mule  peut  concevoir  &  perfectionner  
 fon  fruit  dans  tous  les  
 climats  chauds. . . .   &  il  efl  probable  
 que  la  mule  produit  avec 
 ,  l ’âne plutôt  qu’avec  le mulet , 1 8 . 
 M u l e t .  Comparaifon  du  mulet  
 provenant de l ’âne &  de la  jument,  
 avec  le  bardeau ou  mulet  provenant  
 du  cheval  &   de  i’âneflè,  a  
 &  fuivantes.  .  .  .  Dans  les mulets  
 le nombre  des mâles  efl plus grand 
 Supplément.  Tome JfT. 
 que  celui  dés  femelles,  4 .   .  .  .  &  
 ces  animaux  feront  toujours  très-  
 rares  dans  l ’état  de  pure  Nature,  
 3 0 . . , .  L e  mulet ne  doit  pas  être  
 regardé  comme  le mâle  naturel  de  
 la mule,  quoique  tous deux portent 
 le même  nom  , 3 1 ............Ca r  ces 
 deux animaux ne peuvent  produire  
 enfemble,  peut -  être même  dans  
 les  pays  les  plus  .chauds,  Ibid. 
 M u l e t s ,  oifeaux mulets.  L e  nombre  
 i des  males  dans  les  oifeaux  prove-  
 nans  d’efpèces  mélangées,  efl  
 beaucoup  plus  grand  que  le nombre  
 des  femelles,  4. 
 N 
 N e i p s e   ® N e m s .  Sa  figu re  & 
 fa  defcription  ,  1 7 3 ..............   C e t 
 animal  qui  fe  trouve  dans  les  pays  
 les  plus  chauds  de  l ’A fr iq u e ,  fur  
 la  côte  orientale,  &  probablement  
 auffi  eh  A rab ie ,  efl  une  efpèce  
 voifine  de  celle  du  fu re t,  dont 1 e  
 nom  efl  Nems  en  langue  A r a b e ,  
 1 7 4 . 
 O 
 o  N A C R E   (1’)   pourroit  bien  être,  
 le  même  animal  què  le  czigithai  
 ou mulet  de  Daur ie, page  5 y. 
 O R I G N A L   à’Amérique.  C e t   animal  
 efl  de  la même  efpèce  que  l ’élan  
 feulement  il  paroît  être  d’une  race  
 plus  grande  que  celle  de  l ’élaa 
 b