rouge de sang , avec l ’extrémité du dernier segment noire : il est recouvert de
poils couchés et noirâtres.
Hab. Sur les fleurs, dans les clairières dë- la forêt de Koubeh : en Mai.
519 LEPTURA NIGRA Fabr. Syst. Eleuth. I l, p. 36o, n.° 36. — Oliv. Coléopt. IV,
73, p. 21, n.° 26, pl. 3 , fig.'36. •
Hab. Avec le précédent.
520 LEPTURA HOLOSERICEA Fabr. Syst. Eleuth. | § p . 358, n.° 22."'
Hab. Communiqué par M..de Laporte.
F A M I L L E D E S C I I R Ÿ S O M E L I N E S .
521 CRIOCERIS MERDIGERA Fahr. Syst. Eleuth. II, p. 6, n.° 19. — Panz. Faun.
Germ. XLVV n.° 2.
Hab. Sur les fleurs en Mai,
522 CASSIDA VïRIDIS Fahr. Syst. Eleuth. I , p. 387, n.* 1. — Oliv. Coléopt. VI, 97,
p. 975, n.® 91, pl. 2 , fig; 29.
Hab. Sur les fleurs en Mai.
523 CASSIDA INQUINATA Br. — Supra viridis, subtus nigro-virescens; abdpmme flavo-
cincto; thorace elytrisque profunde et dense punctatis, fascia angusta sordide cruentata
ad basm elytrorum, punctis 2 flavis interrupta. — Long. 6 millim. ? lat. 4. — (Voyez
notre Pl. XLIII, fig. 3.)
D e s c r . Tête fortement ponctuée, noire ; antennes d’un brun jaunâtre. Corselet
légèrement inégal', à bords latéraux et antérieurs peu relevés, couvert dé points
assez larges et assez serrés : sa couleur est un vert assez tendre, qui passe au jaune
brun après la mort. Ecusson triangulaire, lisse ou à peu près, et vert Élytres assez
fortement élevées à l’angle extérieur de la base, assez largement rebordées, couvertes
de points plus gros et plus rapprochés que ceux du corselet, et surmontées
de quelques côtes lisses peu élevées, légèrement obliques à la suture : leur
couleur est du même vert que celui du corselet, avec la suture et les bords latéraux
jaunâtres : la base des élytres, entre l’écusson et le bord latéral, est marquée d’une
bande étroite et transverse, d’un rouge presque de sang, interrompue sur chaque
élytre par deux taches d’ùn blanc jaunâtre. Dessous du corps assez finement
ponctué, d’un noir un peu verdâtre; abdomen entouré d’une bande d’un jaune
brun. Pattes légèrement velues, d’un vert pale,.qui devient jaunâtre aux articulations
; les tarses entièrement de cette dernière couleur.
Hab. Sur les fleurs en Mai; aux environs de Modon.
524 C ASSIT) A NOBILIS Fabr. Syst. Eleuth. I, p. 396, n.° 47. — Oliv. Coléopt. VI, 97,
p. 9 8 3 , hv 104, pl. 2 , .figiç24-.
Hab. Sur les fleurs en Mai.,
525 CRYPTOCEPHALUS FLAVIFRONS Fabr. Syst. Eleuth. II, p. 5 i,n.® 59. —
C. nitens Oliv.? Coléopt. VI, 96 , p. 822, n.0*64, pl. 6, fig. 94.
Hab. Sur les plantes eif Mai.
526,‘ CRYPTOCEPHALUS MORÆI Fahr. Syst. Eleulh. H, p. 52, n.® 61. — Panz.
Fauu. Germ. LXVHI, n.° 1 1 .
Hab. Sur les plantes en Mai.
527 CLYTHRA LONGIPES Fahr. Syst. Eleuth.II, p. 28, n.® i.-^- Schæff. Icon.tab. 6,
fig. 3.
Hab. Sur les buissons qui bordent le torrent de Modon, au commencement de
Mai; en très-grand nombre.
528 CLYTHRA ATRAPHAXIDIS Fabr. Syst. Eleuth. H, p. 32-, n.0 1 8 . Oliv.
Coléopt. VI, 96, p.- 8 â i, n.® 17, pl. 1, fig%;
Hab. Communiqué par M. de Laporte.
529 CLYTHRA NOVEM-PUNCTATA Oliv. Coléopt. VI, 9 6 ,p. 852, n.® 18 , pï. 1 ,
fig.l2&
Hab. . Communiqué par M. de Laporte.
530 CLYTHRA MACULICOLLIS Br. — Atra, profunde punctata; thorace, elytris et
aptPTmaimTn articulis 2.0 et 3.° flavo- rtxfescentibûs ; thoracis basi fascia lata sæpius
interrupta aut maculis plurihus notata; in elytris singulis punctis quatuor nigris bifa-
riam et oblique positis.— Long.io millim.,lat. 5. — (Voyez notre Pl. XLIV, fig. 4.)
D escr. Tête assez fortement ponctuée, profondément impressionnée entre les
yeux, lisse sur le chaperon, riôire ; antennes fo rtement en scie, ponctuées, noires,
revêtues d’un court duvet d’un gris jaunâtre, les deuxième et troisième articles
d’un jaune un peu rougeâtre. Corselet arrondi aux angles ; surtout aux postérieurs,
très-peu avancé en arrière vers l’écusson, assez finement ponctué, d’un jaune roux,
avec une large bande transversale noire, profondément échancrée aü milieu, et
qui, dans certains individus, disparaît en partie pour ne laisser que de petites
taches noires irrégulières vers le bord postérieur. Écusson un peu renflé à l’extrémité,
marqué de quelques points ènfoncés et noirs; Élytres larges, sans cependant
dépasser le corselet, un peu rétrécies vers l’extrémité, couvertes de points
enfoncés profonds et assez serrés, et marquées au milieu d’une légère côte, qui
n’est sensible que dans leur première moitié : la couleur des élytres est la même
que celle du corselet, et sur chacune on distingue quatre taches ou points noirs,