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M. Oreilly aVait exécuter cette machine aux forges de Preuill«'
rt q S S y l t o S ÿ L0irte> O» a supprimé ici un corps de pomjé
," “1“ à M,re °» * ÿ ;
Fio. S. Pompe soufflante hydraulique. (Son u n et sa
marche ont été indiqués tome 2 ; page 325. )
crf>.clo<rhe de bois on de métal qui est enlevée une machine a eau ou a vapeur. — r, tige au moyen dee tl aaqbuaeisllseé ec epUaer
rdl^t Lt 6’ éd Ü B f,qfuSe,’ "? eS 0mD emu0t lflaU rc-l,o-ch ‘ef. —S mr , r o4ualecttees e pnolourn ttee ngir gla ’ oche perpendiculaire---- g h, fond en fonte hermétiquement joint
avec les rebords intérieurs du bassin qui tient l'e a u .- f souDane
qm s ouvre pour kisser entrer l’air sous la cloche lorsque celL ci
, f’“ ’, ? 6 , Juyau fi“1 conduit dans le régulateur hydrau'ioue
. S r i * «'«>*« lossqu .Ue lf f f l Ç «
ssuurr ccee ftronnidd , ne puisse eja3mU’a is s.’Pinotruordrouiitr ed adnasn sq ncee ltquuyeasu c.a —s s ,e rséopuapnadpree
•oppose au 0rUe!toeurtru d‘;ee d1 na itru dyea uc eB r déagnusl alete ruérg dualantse luar chlyodchraep.’lique.^L
Baade/ P°mpe faUe d’après CdleS de MM- John Laurie ei
Fig. 6. Fourneau de coupelle ( tom e 2 , p a g e 3 3 2 ) — 1, coupe, suivant la ligne xy. — II| plan.
J j % e r à grille. , porte du foyer. - « , communication du
- c c conïeUe1’ r “ “' I L . M oratoire où se forme la coupelle.
il eesstt eenn bOn£qeue' 9— Aa ’, Cg0rUuVe eqrculei oseur tc hàa Peena ue nmleovbeirle ldee clah acpoeuapue l—lei x , portion d un des sonfllets qui verse son vent sur le bain X plo’mb
d oeuvre contenu dans la coupelle. _ r, rondelle de fer pVcéebbh-
quement au- devant de la buse pour disperser le vent. - * . canal dés
ga-.t earuë e®d- a r g e1 notu.-vTer,tu true ypaaur ldaeq uleal lce hoen minitrnoéduei.t cdae nla’eauux s upro uler 1 évaporation de l’humidité. - u , armatures en fer!^ P
P L A N C H E I V .
Fig. i . Partie de la machine à barils tournans dans
lesquels se fait l’amalgamation ( tome 2, page 33ÿ).
AA ’ barlls ?erel,és de fe r» renfermant le mélange pour l’amal—
unTvis à efcrou ““ . Bn. IS hh^e“u-s sfoenrm qeuni tffaleits mbaoruiv,so;iir, sd esu«xn tb areritlesn uens epua-r grenant dans le petit hérisson b qui est attaché sur chaque baril. —
C arbre qui porte les hérissons. Il est mis en mouvement par une
roue a auge.s, — Au-dessous de ces barils est un bassin long destiné
«recevoir lamalgame lorsqu'il est fait ; il y est lavé par un courant
Flo. û. A , B , fourneau pour la distillation de l’amalgame.
— A , vue du fourneau en face. —> B , plan du
même fourneau. Les mêmes parties portent les mêmes
lettres ( tome 2, page 34o ).
Dansée fourneau , l’espace renfermé en h f g k i c d e stle laboratoire
et ses dépendances, ha cloche de fer h d f forme le laboratoire
proprement ditj elle renferme la partie supérieure du chandelier de
fer m n > c’est-à-dire, les plateaux p qui portent les houles d’amalgame.
L’espace c d f g k i est le récipient qui est divisé en deux parties.
La boîte de fer g reçoit le mercure qui tombe directement des plateaux
; la caisse de bois r, qui est enfoncée dans le sol, est toujours
remplie d’eau qu’un courant y amène par les tuyaux t. L’eau sort
par le tuyau t'. Cette caisse es.t destinée à rafraîchir le récipient de
fer et à recueillir le mercure qui pourroit s’échapper. Le récipient
du laboratoire est fermé par ia plaque L. — D est la cloche de fer avec
son artnnTe en fer. '■— D' est cette armure. — E est la vis sans fin,
les poulies, & c., destinées à enlever et à placer la cloche de fer.
Le foyer est contenu dans l’espace a c d h f g b ; une plaque ronde en
fer c d f g le sépare du récipient. On voit qu’i! est supérieur et en partie
entourant. — Les bouches du foyer sont les trous 0000 ; elles sont
latérales. — La cheminée, qui n’est point représentée ici, est supérieure.—
Le foyer est fermé par la porte de fer F. — G et H sont un
leinefro, n&cecm. ent et un corps avancé pour la préparation du chandeF
ig. 3. Fourneau employé dans les mines du Lyonnais
pour l’affinage du cuivre. ( Les mêmes lettres sont
employées sur le plan j fig, 5, 1 , et sur les coupes pour
désigner les mêmes parties. ) ( Tome 2, page 354. )
B , bouche d’aspiration. F , grille du foyer. — L , laboratoire
dans lequel le cuivre est placé pour être fondu. — a b, brasque, —
m n , bassins de réception. — p , ouverture par laquelle on fait tomber
les scories----SS, soufflets dont le vent est dirigé sur le bain de cuivre.
— c c , percées par lesquelles coule le cuivre dans les bassins de réception.
— C , cheminée. — 0 0 0 , canaux pratiqués dans l’épaisseur du
fourneau pour l’évaporation de l’humidité. — Le courant chargé de
cdaul olaribqourea tsouirite .la route B F L C ; les soufflets sont ici des appendices
F ig. 4. Fourneau de réverbère pour la liquation du
cuivre, pris de Lampadius. ( Les mêmes lettres expriment
les mêmes parties sur le plan I et sur la coupa 11. ) ( Tome 2| page 356. )
B , cendrier et bouche d’aspiration inférieure.__F, grille du foyer.
— L, Laboratoire renfermant les pains de liquation b b .__a a , plaques
de fonte inclinées formant le siège des pains de liquation i A.
bassrirns, rdige orléecse rpetcioevna dndt .l e— pl oCm, bc haermgeinnétief,ère et le co n d u isit dans les
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