et trois-quarts dans la longueur totale. Il est aussi un peu plus
arrondi, puisque son épaisseur n’â guèr» moins de la moitié de sa
hauteur.
L’oeil est rond , assez grand et placé tout-à-ïaSt dans le haut de
la fone. Le sous-orbitaire ferme au-dessous'de l’oeil une belle
ceinture argentée, qui s’élargit en ayant, et côuvre tout le bout du
• • museau. ' ....... " '
Les nageoires dorsale et anale ont, oomttfe dans Je pagre efie
rousseau, les derniers rayons mous recouverts. par de petitesécailks.
Les nombres-sont .: gj|j
. D. 12/11; A.*3/iOLC. I l ; -P. ï
Les écailles sont 'plus petites que nèfles du fWssèàii. La ligne
latérale est* droite, Assez large et plus'foncée quelê Rorps.
Tout le corps'est-rougeâtrevas^ehtë.-Dans-Vaisselle d& la pec-
. toraleiil^y a une taohe d’un rouge-brun trèsrfoncé. >
Nous n’avons pu examiner des, vΣc|re&! bien conservés,, de^ce
.poisson ; mais squelette nçus ^ m o p t^ ^ s r A^érences spécifiques
aussi ^inqportantes que l’extèneuri du corps. ^ ^
La colonne* vèrtéêraie n’a que vingt-deux" yertebres, dont Jû|uf
seulement portènt dés "cotés.1
Il n’y a plus ^suHfe crâné qu’une s^oe^r^*xïïi^>ÿénnë''uh peu
élevée; elle Ét4 éculéë sur l’oceiput; c% qui donne Rhis d^èfeidue
au front, qui est uni et'peu bombé. Les deux crêtes latérales sont
si basses qu’il n’y a plus de fosses comme dans ho^autrès sparoïcfes.
Suivant Cornide, la chair des acaraes 'est aussRbonne
que celle des rousseaux, .et on la mange ppp£êtée de la
même manière. Ils ^ v é n t par troupes : on les ^ tf e e ’-plus
pfès dé la. côté que les ràusséàux, et la meilleure saison
pour les prendre est le printemps.
L e Ragel bogueravel,-o& Pilonneau.
(Pagellus bogarayeo, nob.; Spams bogaraveo, Brünnich.)
Si nous avons pu déterminer;. a^ç| certitude Taeame de
RondeFet, 'nous nëi,sommes pas aussi certains de; sa nomenclature,
aü* sujet d’un quatrième pageldq+la Méditer-
rafpey très-voisin .de :cet acarne.,
Il gtt^.d^ÿ^oir ;’shSc(e quatrième pagel est le poisson
que Rondelet ai. donné au- chapitre;,,1^ de son; livre Y
comme une|^©oonde^esplçe’ de > bogue: iKLes pêcheurs de
son temps Rappelaient bogueravel ou ravaille ; voulant
dire pag^çïflte épithètel provençale qu’il était confondu et
yeudu^pêle - mêle avec des poissons de bas. prix, à cause
de sa ipeti^essei«;-La ifigure.-joinlÿ^à eeoçhapitre 12 peut à
pëi-üe ajouter ati/petit nombre d’indiceside la description;
aussi Artedi :'sfi|^ ^ mis de parler de ce bogueravel, qui
n a ppktàpris place dans le System a naturoe.,
Brünnich donne sops le même nom, un poisson
qui le porte', dit - il r à Marseille, et dont la description
répond parfàitement.%\cel^Û5.que nous$avôns sous les^yeux-
Hàus4 fedapprochons de-celui dé^Rondelet à cause de la
Ressemblance dés1 noms.Rr|
d Bonnâterre a introduit céspare de Brünnich, dans FEn-
üyclopedie m é t h o d i q u e d . e là qüejM. de Lacépède
a p ris éônr sparus bogaraveo.
' M. Ri§fe<Pi.r*âfltë, p. 2^9) à reconnu le bogarùvjèo de
Brünnich parmi leR pôissons de I^i^e/èt il e& a donné une
courte description faite-d’après nature, qui ajoute quelque
chpSe, à jpelie. du naturaliste d an o is.y ans saflécoiade édition
(p |||> 9 ) ilh ’a change que le nom spécifique, et il en