cfflp. II. DAURADES-. 95
raies. Ses premiers payons épineux sont plus hauts que les derniers
et que les rayons moiis ; le premier est? très-court.
! La caudale est £©.prchue. Ses deux lobes sont arrondis et égaux.
Les pectorales sont très-lopgues ; elles égalent presque le quart
de la longueur du ;c<ârp’SL
'* Les nom'bresSd^trâybifis:! sont :
D. 3]/7t M 1/5V
Les^écafflè)s^ont fortement imbriquées les unes sur les autres ,
et plus"hautes que longues: on en compte environ cinquante-cinq
sur une ligne longitudinale, ’depuis l’opercule des pectorales jusqu’à
|& \b|Êsjb de-la1 caudale.
La ligne latérale est fortement marquée; elle njaît derrière l’os
]. surscapulaire, remonte; vers le dos jusqu’à la hauteur du quatrième
, rayon 'épineux de la dorsale, puis elle s’infléchit un peu et va^pa-
rallèlemeiMt au dos jusqu’à la quepe.'1
Là eouleur ést totalenÿent, effacée : on ne voit plus que quelques
-d argent-es^ur (écailles ,g#yee,, des - taches brunâtres éparses
r s,ur lpa, flancs.
Le seul individu que M^flebdàj^de nous ait rapporté, a vingt et
un poppef-d ç ..long. :
'Ce que®;squelette de ce poisson offre de plus remarquable, est
üjcjé'te mitoyenne du crâne; elle est hautejde‘plus d’un pouce, et
' 'l'bngûh*d-ê’plüs’de1 -deux;" elle -est mince àtSoh attache au crâne, et
? les deux tables osseuses sont séparéespar. un diploë «très-lâche : elle
^ (s ’élargit à-mesuré .qu’elle s^lêve,s etj devient très-large et très-dure
■-l^on^bord lib r e q u i -serrenfle en avant*eh turrigros tubeipule, et
■., s’aminqit: beaupoup versjTarrière „du crâne.’ -
Il y a u n -très-lbeàu. cfâise du cette-êspène dans la collectio
n an atom iq u e d u College des chirurgiens à Londrfes.