des, flânes if y . a vingt à' vingt-quatre lignes.dlun gris plombé ou
doré, plus marqué au-dessus de la ligne .'latérale qu<en< dessous, et
par le travers des flancs^inq à six bandés étroites, que lî«j®i ne&yoit
que sous certains reflets. Suc. la quçue il y a une tache noirâtre
très-foncée, qui ne»,touche* nuflementlà- la base de la dorsale'^et
qui descend suj. les .cptés sans atteindre le bas de la queue, le-front
et le sous-orbitaire,sont d’un gris.plpmbé à-reflets pourpres; le
bordi de l’opereùle au-dessqs de l’angle est 'noir*: Ü-ÿ a une tache
•’ de cette même couleur Jans faisselle de-Iaipectoral«es La dorsale
est grisâtre, avec' un, peu_ «le „-jaunâtre mêlé.’ Les---rayons épineux
offrent quelque^ reflets argentés, et la partie molle» est bordée.de
noirâtre. L’anàle est noire et-seulement grise à ' sa" base. Latcâudale
est jaunâtre,-avec., une^iargp bordure noire» -'Les.-pectoralés sont
grises,, et les ventrales d’un noir tqès-fcaabé«* |
Les individu^' qurnôûs ont p ré& e |^
Içurs, prisi^ày^pl.es par.JWL, Savignyb •nnyaieu<lu plus que
sept pondes de long. d’un p ie d à^ p p o rté jde
Marseille par feu L.elalande.^.mais qui. était» plus altéré
par la liqueur, avait la face-plus-rougeâtre ,- plus argentée :
ses bandes, .transyerses ^p$raK&,eiat plus.; nhàif f e f c sont
encore visibles suip de .j|etit^hdiyiduÿp^^en' mêtofetenSC
On peut donc, croire quelles s’effacent a'ygc l’agê-
», Nous trouvons,;à.ce^premïen^^'ei-un.'jfol’e petit,1 placé*dans
l’hpiôeoTfdré^gauehej, dans le coté droit) est la vésiciafe dttçfiel,
qui est longue et étroite, hrestotnae est petit, æ parO%i minces :
il y a cinq appendices ceecales-raxL-jpyloreu L’intestin /après»-avoir
fait deux rephs, déboudhe'ta l’anus» La vessie natateniq"est,grande,
mais simple. Sfous h avons, trouvé dans les intestins que,des rnatières
animales déjà décomposées^ il nous" à'-ëté imposable d’y voit la
moindre trdce de fucus ou d’autres plantes.
ba ebl^ g ê^Vertébrale. du-sargue j S compose de ■ vingt-tr-ois
vertêbt-es, dont neuf abdominales'>eti quatorze caudales. Les apophyses
épineuses sont hautes, larges; les apophyses transversës des
sept premières vertèbres sont égales entre elles : chacune d’elles est
courte,-.grosse, et. offre'en arrière une facette articulaire assez large
pour recevoir la côte qui lui < correspond. Lés apophyses transverses
de la huitième et de la neuvième vertèbre, surtout celles de
la dernièrfj,. sont longues;, et placées si obliquement sur la vertèbre,
qu’ellëjuont presque la position d’apophyses épineuses.*
„ Les interépiheux des aiguillons de la dorsale sont larges et aplatis
sur les. côtésyet.ils portent sur chaque face une arête saillante
et éïèvée èepf de ses rayons mous^sont plus faibles et plus petits ;
le premier- interépineux porte, à sa, partie supérieure une épine
osseuse, courte^, mais très-grosse,.dopit la pointe est dirigényers la
tête .du poisson; en ayant de,.cet interépineux en sont trois, sans
rayons;,^fonnant de simples tiges, osseuse^, placées sur les deux
premières,.vertèbres. Les deux apophyses épineuses inférieures des
premières vertèbres caudales sont élargies et courbées en lame de
sabre*; Tes-'âutfeS sç>hr de simples tiges osseuses. Le premier inter-
épineux de l’ànâlé-est ‘très- gros et'très-fort, les autres sont grêles.
Le crâne est* litssè* et-arrondi am-devant des yéûx; il est surmonté
aurdeSsàs d’eux d’une crête triangulaire, très-haute-: de ehaque
côté,en est une autre plus- basse et allongée» La crête-externe est
réduitiyi, un^shqple arête, qui va de l’angle antérieur,«le la grande
crête impaire se terminer- uiypeU/$en arrière de l’orbite. Les os du
nez soii^albngés et,élargis supérieurement en palettes.
Le . preopercule est, creusé, d une large fosse' très-profonde.
E’op'eVcule ^êst trapgzo’ide i 'l’angle supérieurJ ést ’ très - arrondi,
d mHiëuP^S-p^ ihm,;i',’f ^
" 'Lfe ' -surscapulairë ' s*â*ptk;ulê par deux Ipngues apophyses sur le
cr.âne : l’une , pins courte et arrondie^ s'appuie "sur là basé dit crâne;
la supérieures horizontale,, élargie gn cuilleron, s’appuie sur la
portion--postérieure .de la., seconde caréné'.frontale, qui çst aus^f;
en- cet- endroit élargie en un cuilleron correspondant, Le corps de.
.l’Os est carm: sur un bord antérieur entre,lé¥ deux apophyses on
ÿpît,l'orifice umqüeide trois conduits pratiqués dans son épaisseur,
èt-dpnt deux vienneiit-s’ouVrii' sur sa'fiicé* extefûts-j-lè'troi-
jsième'ïè traversé^ pénètre dans le scapulaire, et va s’ouvrir sur la