m LIVRE SIXIEME.. '&PAR*CfÏD ES.
Les dents sont aussi plus petite's. Il y a* huit incisives-'à chaque
mâchoire, et deux rangées de môlaires seulement. ,
Le-fond de la couleur paraît' avpiït-été-'argenté et rayé longitudinalement,
de vingt-quatre ou vingt-cinqi rubans 'dh^^®^afre,4a
cinq bandes,brunâtres plus,-ou moins visiîlcs, s^varitLles dijffé-
rehtes incidences de la lumière siir le c6rp*s du poisson, cfeséin-
dent du dôs&ir lès flancs.~Dérrièré f Ipaulè4,' ll'yauhe ta’chë ndirâtre,
placée en travfers sur la ligne1 latérale. La dorsale^ëst gtt^at^e^LalBtîLe-
est jaune, bordée de-violet; la caudale‘jaurie' o le ttre ;4ë& pectoralds
et les ventrales paraissent avoir été d’un jaune pW.vif que celui des
autres, nageoires, g • •.
.; la taille des différais individus, que; nous ayqps examinés, vtirie
de trois à; cinq pouçe&
Ces^poissons se.n^rrissent de petits {ggistacçg^mais
viscères de nos* individus n’.étài:entr^as ass,ez bieq, crins,eryés;
pour^en déerirri l’afiatotuie ^ependamt -no® s* ayons pu voiy
que lin tes tin estassez longy et qu’il fait plusieurs ondula-,
tions... •
.DES PUNTAZZO^ C A jbjjc, Risso).'’ "
O n p e u t sép a re r des sargues u n poisson de la M éd itè r-
ra n e e , q u i a comme eux trâh<chantÿv mâis
d o n t les molaires s o iÿ lo r t p ^ t i je s e t sur u n e ^ u l e . j g j j i g l
L e P tjkT iÆ z ^ c èM M u |f|‘
( Charaæ puntazzo, nob. ; Sparus puntazzp, Gmël. )|
C e tte espèce u n iq u e ju sq u ’à* p ré sen t se re co n n a ît JLe
suite:
- ‘à son museau pointu - et avance, et à l’obliquité de "ses! incisives
longues eTétroites.' C’est l'avancement dë son i&üsëa'ü"'qui fait que
Je corps paraît à proportion moins haut que celui des précédens.
i. ppwpÉiazo. 53
La'feaùtëuEiestd^^^ Le profil du dos des-
•cend.tveïik I^uraus^ùlpar unevpeqjejjtrès-,Clique, un peu ëpficave
sea>avant® l ’oeil. oem ^ q |§ *d u ventre-[Suit une lignetpeu.-courbe,
^•ég#iWe'jusqu’à l’aiaÿlpr et rémomant^èn&ûit^àfsez-.brusquement à
las queue? La^iongueur? deSl^^têféfeÿipun p eu 'jo in d r e que. le quart
d e d u " qdpoe|sL’ ori||e$t médiocre, distâhce du
^ôu4du!jmuseau Entre ]|èS.:yeux_et plus
e n • avant’il&front • esîi'mh^pi^'êle$é Sèn* bosse.Le- jS,énSf?orbitaire est
jàssôzigrand^-âohillôird. inférieur-, festonné^ e ôw r e presque en entier
le ^axillaires. L’aUgles de J-l’lrip^3|ide|(ést plus aigu qp’aux autres
la, Méditerranée. - Les lè,v/pe^||jra|tl. p.eul'.épaisses , plissées
^ur leSï,c4tésrLes deats anciAe^sqnty^ ampqmb're de- huit $ étroites,
idhigées en .avant riet&ellanées* obliquement en biseau ;> leurs'* racines
sont teèsrmjncestéil hyOaqu’une-s|ipïê ratigi&de dents molaires, si
^pëiileV,*qu elles peuvent#’ peine m'érîileljle nom.,-Elles se réduisent à
uné^||ôzaine' de' petits* grâi'm® piàéës^|^jr le bord des -mâchoires,
éMsqurj'l*«^ !»ont;-lninfees| ^ ^ ô u ^ n ^ îà laCtëte cette »forme étroite- et
-^çmprirçéey s i ôppq^seeC^/ôèfqufô nîCHasiaVons trouvé. ehez Igs autres
'sàr,^çérl^|dorsale.,ê,sst^p,e'U élevée; ^es-épines ^ u t faibles. La caudale
est p eu ,|0.ti!ri>hue ; l’ânMete^A à sfe ; les pectorales font pointues.
Æ^^Qioifdeséiinmbres^es-æayons!.:^;-
. Les.écailles 'son^d!e?srandeur ordinaire : il* y en-a ciriquante-cinq
tà'.soixàn-fe depuis-fcufè j&sqtî’à la queue, et vingt-deux ranges-sur
‘chaque fi am& ’ChaqUe^éçà^é^^st presqiue,jq.gbiculaire, et il y a treize
dttolis qui'-sspierminent à tin bord r^djGal dentelé, et un peu échang
é . ..Les é^iUes\qu,ùr^çouvrent l’ossature.de l’épaule sont un peu
plus peti teSj miè^cèllas, digeste dji, GjOrps. Au-d^ssuç du surscapulaire
en .‘est une,fçapg^dè'plug3gM.ndès, dispqséêSj^n demi-cercle, dont
qo,rdé,'este,forniée pâr % série dé'ôSll'f^Pï l’ôCciput; ce^; écailles
ont une ’Couleur Jfhffnrune que'les àütresf*La ligne latérale se
jmarque par^une^süite. de,- petits tubes, rapprochés,; elle est plus
colorée que®§ fond-du p,©isspnï,5i
, ,.;Rqs individus.sont,, g i s „argenté,, à reflets dorés. Sept bandes