tons àamà Fermant *$ mais il a* éru.qu;ej§-é^it
le spams .pagrus éfArtecli* et de Lionseus.î ''
Il a .été > pmcela imité par iBlq&h*, qui a-donpé^us^ce
faux nom j à la planche 3% « u e % u:e rqçoqmi^bWmais
peu exacte ^ de notre poiss©^\elleb ë§t enlûmitiéé^dïune
manière fausse .en rougeÆçè&Hvif,:'!-on doit surtout .^ffl^aï:-
quer que les dentàvpepreseritd^à part sur eette planche,
Mèm probabrlemenU^e'HéS'd’un pagelj;ordingi^t,T- -
Plusj tard M. Donovan? en a donné .u^e-^ouue figure
danséOn Histoire despois^ons d’Anglpterix^mais il le pre%d
pour l e ^ $ ™ aurata-àe liïmæus, et il cite là Ægjÿfë.266
de Bloch,,' qui ressembléfbiën m,oins à la Ssienne ,quet celle
dé-la glàaach'ei.aê^#^ tt&Lzyr*d-an«b Jr>> ,*"q :
M. Turto»? ^at/eopié, Pennant et Dopé van, e ^ é ^ l ^ u s i
q u e l’on trouve dans, sa-Faune fangl#Sg^un^/?^^.®e^^^
eiTim sparuspagrus, qui ne fpnt qnqne même{î^§pèçe A
laquelle m’est %ni le* pagre, ni la daurade, çaais nojEg $op&-
seau puo penfiro d on te.- jm ÉHiH
Duhamel^ désignéjaussi, le nouveau d’une, m a ^ ^ . r e -
connaissable, d’aprèsksvn&l^que l,ui â ^ f ç m i ? ^ de
Bordai II neri- donne. pas. dp figure, et nqus.>icr0[^pusJ qup
1e, poisson dont il parle dans le paragraphe m W m kM f } e
nom de yçaûj)<&nigH&^feu^ 1 pn difère^èa-peu : lapoulepr
est la mèneraiÂe .dit seulement php^alpngé.,. j | r y
Malgré toutesces indications’ipcpmplè^^Qq.£r£Qn$|es{,
M. de Larochéf qui a pfxblié une bonne description-du
rousseau dans les Annales du Muséum ( b ^ p i l , p; 34^
pl.aSyfig^aXlla cqnsidéï|jcqmme unpf|es,pqqgipouvejle à
1. B fit^ z a d l.; 2-.e'édit.vp.- 212 Brit. jjp r r
3 . Brit. faun., p « ^ . — 4. lè c h e s ,,2'.* part., sèct.«4) c î% J , 3o.
laquelle il aldonné le nom de sparus centrodontus. La
figure * qui ^ëst'iointevCSttCort ekadte, et c’est la seule sy-
noriymië^qui ne donné lieu à aucune incertitude,'*'1/
M.-Bisso l’a aussi connu et dù^crjt'dans%on Ichtyologie
de Mé'dyi.je.éd,,-p. i,/±Æ*ëî i/.e â .,' p. 33 7) 5 mais tout en
reeonna-issan #sén affinité atÿeè le poisson de M. de Laroche,:
il Ispi^ài^dpn^ë le, nomade sparus massiliensis, et il a, cité
Brünnich. d’après>M.- de Lacépède. Cette.- citation ,est< toüt-
àèfait fausse^éaril’article ?déi Brünnich sëf .»rapportera un
Éej. n ^ piearels , ainsique nous l’ét^bMrMs dans un Éë
noe'chapitres ’sui-vàns. *
Le pagel, rousseau ou* ceritroaônte Jsë distingue du pagel com-
; mun par' son museau plus*.obtus,’par sou oeil plus grand, et par
^des/dj^nts plus'jfki'èssët moins nombreuses aux mâchoires. L’ovale
du s^Oiçpsï est plüs régulier. Sa hauteur est Vers le milieu de sa longueur,
„et jn’en fait »àèpeu »près quejds^Ltiers: Le^co^ps est aussi un
, peu plus”.égai§. que dans le, pagre. La ésfr,plus ..ceinte. Sa lon-:
ligueur .ne, mesure que |^quart de $ ^ e rdu corps. L,e diamètre ;de
l’oeil fâit le tiers de’ la longueur dè la tête, et les deux yeux sont
. éloignés d’ün de leurs diamètres ; ©’est^e" qui rend le front plus
, 1 lgrgeque celui du pagel. Cqtte partie dp la tète est aussi plus bombée.
;v>Le profil descend plus obliquement et plus rapidement de la
•Ijj-lauque, et plus rapidement ençore des narines au museau j ce qui
le rend très -.©lattis'.1 Le sous-orbitaire, et le préopercule sont .aussi
^yn-èsÿét^ûits^ à cause,de la grandeur de l’oeil. Le limbe du préoper-
/*^èule, a ‘peu’d.è Strips. ï/ opercule est âlargi vers le hai^t, confondu
avec le. soe|s-opercule par les écailles qui Recouvrent ces deux
pièces. L’interopercule est entièrement écailleux.
Les deux inacHoires sont,presque' égales.?.La supérieure dépasse
de très-peu l’inférieure. Les dents en catdes de l’extrémité sont
plus fines que. celtes du pagel, et les molaires à proportion encore
‘ - Beaucoup plias petites j elles .sont disposées *-sur * cinq rangées, et
celles* du rang interne sont un peu plus grosses que lés autres.