j L e SiRGU'Ea^IMAGfiEÉ.
:.J CSargus üri^maGulutus, n ob .lfj’ ‘ "
Le premier de -ces deux p’oiàsôns a dejà^ të '!dêM4 par
Maigrave squs le nôm de ’‘s'hlema ou sallema, qui est le:
nom portugais; de la saune (sparus salpa, L ium ^ e t qui
lui a»#é transporté par, les étions du Brésil, papcl qu’il
ressemble singulièrement à la saupè par leslcouleurs:#|fn-
moins Margraye observe d^&Aÿ&c raison qu’il tierit^davan-
P! r ,feS fc rmes B n H H l& J p iS i e e t
par les dents. Selon^Pison, lés' indigèriéSj^ppellént p a cu .
La figure quévc%s deux auteurs“* 3, èrî‘ ^ p n é n t3ÿiek'4ale8z
reconnaissable, quoiqu^Ton n^Vtfife poîb't4 a ta3clié,*llt;>
B f l B ; mais Tauteurf en fait menHi!qn sbn lefee.
Cette figure n ^ ^ l ^ e ni du1 r ^ e i l ' d j i jViH H H |u i|£ .,
ni A ^fiuî 4 ? ..Menfzel ; mais b p r ^ ^ e n ,
longue à^fpp^Gyd^^ux p p ^ g ^ .e t’p^.la^Saqha, e§t i p ^ e d
plus en arriéré,:; elle porte f is s ile .nom saUfmauÜks S t e -
là que Blocb (pl. 3o8, fig. i), af eopiée^en^la. doublant-,art
en Reculant. encgrp ,1g. t^ ç ^ |u ^ q u e ^ s ^ v is la^pointe de la
pectorale : il prétend?quéfe p rix S ^ in ïitu le c Ÿefhjnuvîra,
est tout-à-feit inexact. 11 a jo ^ e ensuite d ^ s ^ t^ h e f
qu’il tran^ rme. e p ^ lp i de r a ^ e t ^ q u ’il
donne pomme n.om fran g é de
ra d p n te Jom m e lj^ é p û b feA
Il nqnq paraît ,que ,c!$t le rppme .ppissqn que Broyvn,|
7 ï o 7 -à' n *ratn.,^4:wmm,merCa unimaculata
2. Bras., p. i5Z- Ind, utr, } p . ^ . _ 3> j am:> p ,
à décrit» sous le*nom ‘de bream, que lui donnent les pê-
eheulvdla' la Jâm'âïquey et ■ qui est proprement celui du
fanthëre. Sa dentition, telle que BroWn l’indique, est
ma ni Êsleiûeni 'celle alun sargue, et les treize aiguillons à
la dorsale ne Conviennent qua l’espèça^ctuelle. Cet auteur
l’a-cru identique aÿ-qc, le perpa rhomboïdes de Gatesby;
maison ©gis^ avons vu précédemment (t. Y.j p- 209 ) que ce
poissonwde Gatesbydest; noiçe pristipome rodô. Linnæus
adop^^nè’iâ’-Sèûlemënt «cette fausse synonymie pour son
spar^^hàrhboid'ei\ mdîsdj y joint ëncore le salt-water-
bream Jd&'|pfcldri, qui est l’espèce suivante. Àu reste, on
pent,'d’autant pLus eyé&m .cèttederreur, fondée sur, une
^ ^ ^ ^ n ^ ^ g â ^ ^ ^ b l à p ^ ^ i^ tjé jr i^ n ï e , que nps »colons
mémâsjLde la, Martinique^^^nent;,^ cefsargue, comme
au ^pristipome, les. noms de rodo -et de gros-dos..
»s^^disfnfe ipensonS^pasfqiiiie' Fes^èeë'mctuëlle remonte plusyË
aù nord qîie les' Antilles. Déjà Pàrrâ n’en fait aucune
mèbwon. Llle 1#ést fo’r t0,coïnmuné * au Brésil : toqs nos
yo^^puTS3 naturalistes' l ’orn rapportée de Bio-Janeiro.
ÏÏJar^pr^SnlqW^’apprend qu;éîïe vit dans les, éauy douces
&t,&alëeg-t.qqelleqatteint uperltongqeur d’un pied, et que
Ëjj, cbair;,éSsî^xçe|len|;e.
D^qsfsbn Syfetèmevpdstbume', Bloch la range parmi ses -
grammi&tesavec-^ette foule d’autres | poissons qui ne se
ttenfeentë^Wv’jtëfe’ lès' raie^lohgitjü.dinales dont leur corps
est':marqué.
y|Krë:,Æ)bissên. ■aui-.resspmble à ,nos.' sargues par l’ensemble et par
les proportions de s|)4^ë^rps, a le profil du dos atjqué., et celui du
ventre jusqu’à l’anus rectiligne. La plus grande nâuteuf du corps se
mésure vëts'4;ie3’8r^SiëSie ou le quatrième rayoti épineux de'la dor-
sale,'qVfait|près du tiers .de la longueur totale. La tête est petite, et