No u s devons a jo u te r ici q u e le scicena unimaculata de
L in næ u s , d ’après les n om ^ î^ s 'd e ses rayons e t le p e u qui
e st d it de ses caractère®, Jne -peîat être q u ’u n p©¥ss%n dë
c e tte famille;,'soit une mfend'ole^spit u n sm&fâs}' mais/ ces
caractères ne suffisent p o in t p o u r en d é te rm in e r l’espèce».
L a M end ë m ii ne: :
- (Mcena vulgaris, n q O Spariis~mæna, Linn.,?^*7
La m e n d o le que no u s pla|S|f|pjla fpÈ erh ^ e y p a rc o ’^tüè
c’e st 4’espèce • la plus - ©6mifi.ün>a,
a lelleWp^a peu’'près de' laV^rSe' du hareng;" mais le' vWtre ëst
“ àrlrondi et non” trànfchant / etfs^p a etp eP sBîlt toutes différentes.
Sa hauteur^esfrîèbmpràs^^'ojs'ffôis et rdémieMS^^^|lon^uêur.
‘ Son épaisseur 'fait »un-peui plusjlu tçfer^e la*^au®r.. Le p !rb0 du.
dos, djepui§ l’extrémité du-tmuseau jusqu’à-.lajfm de^k^dorsale^urt
une^ëoynfeune^jfeu Arquée^et oui du
ventre lui est p^faiteü^enti^^AlahleV^i
La tête- -eft petite?: sa? |w ^ ^ ur^h^^men.ixe quatre lois jet un-
qüaËt dans cellepucorps«.
L’oeil* parlàiu-rriTn't^t/nd ? s f l n ' V d h f r n e l l e
‘ qfuart- de'fet longileubde la léte7:S f ^ p ^ Ë ita ird ^ sM ^ ^ ^ é ^ L iq ^
■ nient au-devant de; l’oeil. Lahautëur du^bord antëHfeiÉ-t'esf^dduBlë
de cellêCdu bord 'tp'©.Mt‘éÈ'ièur ; de bbrd' inférieur e&tysim/eux
; recouvre que la moijbie antérieure .du* maxillaire.
du sous-orbitaire^^ t o galQmfflt écl| ^ e j^ j^up^^e^iR^Ki tajbftl-
, -GUje pointu,jet/jSaidanJt, quisest, s,ur IVxlxéui il é^ n teiieui é (lu-tnaxilr
laire. Le préop.efcülë^est asffez^lïamT; son limbe est suns'éeîdÙes et
finement êiïBÊf*:.
*■ L o p e lp ^ ^ g le sünopelfcùle |^®^S,e^nis ¥rJtSrm^IT .ui/cpu,(æ~
triangulaire éojdlcnse donj^’ailgup posKÇi e 4 ^ e lt^ k ^ Jè'ùvert.
bord membraneux-de>Loperc-ute"ûiest*-pas- très-grande—
L’ouverture de la bquche çst médiocre-;-, mais elle est trèà'-protractile,
à-cause de l’extrême longueur des branches montantes de
l’intermaxillaire. La p.ôr^Qn^apgiilaire de la branche montante de
la mâchojÿe est haute, ce^qui élargit beaucoup l’arrière de la mâchoire.
près ;de son articulation», ^laquelle est assez reculée ; mais
Rejettevdisposition, .à.! peu près semblable à celle des hémulons ou
des léthrinus, ne permet pas, à.la mâchoire de s’abaisser comme
dans ces. deukgenres. c'
r-W LekMvrësi-sçfnlsï peu épaisses. Les dents sont fines et à peu près
Egales sjnrle premier rang de la mâchoire supérieure; derrière il y
t-rt ' î f v a ^ i r s i Sur recevant de la mâchoire inférieure
sont déux^nines plus fortes 'q ^ y ëMmtres dents. Les palatins sont
fisse’s èt .sans d^nts,; sur le vôm%rif QU .a* ùpd'rangée^ longitudinale
eh’;velo«rsdmx,^ans’|qde l’on en yoi.&jsmr les .deux renflemens
antérieurs dê^et^os.qui enyfé^roiènti le chevron.
Ki-dûa langue est libre, pointue, lli^e; les, osselets impairs qui sont
à sa:ba^.son|'»èJouvertsLd^shÆrqsités'yas,sez fèrtes. Les dents pharyngiennes
s'ont en c a r d p ^ ^ e q ^ ^ s , disposées- eu ^groupes. Il y
a quatre ’â^éeàms brancnïauk, outre la-demi-branohie operculai-re:
chaque-: arceau porte un double rang de lames ; dont la division est
presque ausSi>scensihle' que celle que’ l’on a remarquée dans l’esûa-
do®;«ett*la première blanchie a unejle^ngée de dents J^bgùes, dirigées
la/b,©u@he pJëS-'apjxeS âreéaùx.portent |d^fe-groupes d’âpre-
^és,;ê'^candeéWiîsê^^;Bl}e§;v| ÿ]
L’ouvertxuedes?#o,u$è\ n’est pàsnpès-geande. La membrane hran-
K/hqiviègOjji’ Æ^fdl’cmsC'.c&nnaieldans1 la’plupart dêinos sparoides.
La distance du bout du museau à la>naüsàncefde la dorsale est
' égalé- ^^qâü tq ù rc duftGOTpk nïSe plus long rayon épineux est con-
tënùd'ëlik: foiss^et demie daifs,-1 qette même hsiuteur. La "portion épi—,
ineuse fde là dorsale ëst plus; longuefaes- deux tiers- que la portion
a.oBè; jianale, aussi longue que la dbrsafeîmolàé’, 'commence sous
le premier rayon de^iCelletaliMjja;caudale est fourchue; ses deux
jffbesyS-Opt - égaux. La pectoral'qe't;l@.ï^entrales -sont 'triangulaires;
elles m’atteignent pas l’janalea Les nombres, sont :
B. 6 ; D. A. 3/9; Ç. n ;>P. 14J;y. 1/5.