Ce que nous traduisons par :
D. 12/14 et A. 3/12.
Certains individus auraient donc un ou deux rayons de plus que
ceux que nous possédons, si le docteur Mitchill n’a pas-compte
pour deux le dernier rayon, qui est profondément divisé. .
No's individus ont plus de six pouces de.longueur.
- Je n’ai pu examiner tous les v4scèrçs,'de, ce pagre ; mais les restes
de sa vessie aérienne que j’ai pu yoir, m’ont prouvé qu’elle est
grande, simple et argentée; Son squelette n’offre rien de particulier.
Le- docteur Mitchill ne parle pas des habitude» ni d u
goût de ce poisson, qui cependant sé'yéüdcommunément
au marché de New-York; car M, Milbert nous en a envoyé
plusieurs individus.
CHAPITRE IY,
Des Panels (Pagellus, nob.ïÎA
Nous rassemblons ,i squs le nom de pagels, des spares à
mo l a i r e à a r r p n d o n t les dents antérieures, sont toutes
en cardes plus Vît'moins f in ® é£ non pas fortes et coniques
pomme eeyes,t^^pag|es^et daurades. Leurs
molaires/sont plus- petites que^cglijEîs, ^es pagres-p^et par
fjguséquent beaucoup plus quenelles ides-t daurade^. Il y
en a.souvent plus de deux rangées,;» mais ^gUes, d^ -deux
rangs Externes, sont lés plus^gp<g泥s.i,n
... N6s mers possèdent au mqjps cinu^sjp,ÛM^d^ce^genre,
faciles'à distingue^u^re,elles,, et,,djont là synonymie est
cependant difficile à établir et^ouvent incertaine, tant-les
poissons de nqs'^4l^s ont | | ^ d ^ i t § d’une mani^re yagiie
Otigfeu compajpjtive,.
e^^Snétrangères ,nje:s^|it pas .très^nqnÂj^UjSès, et
quelques-unis ont même des particularités d'Organisation
assez notables' pour qu’au, beSoin^-on pût jéji faire des
genresyéo|iaiés.>-
^ L e s pagels vivent de poijsó^s o t ,® . coquillages, vont
par petites troupes ./‘approchent des piges yjrs le prin-
temp|, ;et y restent jusqU/trhiver. Il en, est même quelques
:espèqqsî qui séjournent toute l’année sur les^côtesde
la mer de Nice..'*.
Nous empruntons,1e p#m de pagel ou de pageau, à nos
marins de Provence et de Langüeqqd, qui s’en servent
pour désigner notre première espëcèfEn latin nous aurions