Le seras-orbitaire a le' bord inférieur un, peu sinueux., et les
nombres sont un peu différens.
D. 11/10; A. 3/9l C. 24; P. 16; x‘:i
La couleur est un jaune rougeâtre et glacé d’argent brillant Le
dos; est violet foncé. La figuré montre trois rangées dé peints, dont
la description ne fait pas. mention.;
Il atteint ûne longueur del
L e n om portugais' d é ^ e ^ j J o f e & o n boquiero^i&e' q u i
in d iq u e ., d ’après ,Ms' Bo’vvdicH, q u ’il% it dans “dé rgrahdeë
profondeurs^.
Le P i q A R E L A Q U E IH E t N O IR E .
( Smaris melaniêptis^ nwbQ. --
. M. Rangr,vientid’e n ry .o ^ ^ ^ # !K ^ |e . au Cab in p t d u Ro i
u n pi-carej: q u i,ressemble, w m ép ren d re , à l’o b la d e ^ om -
m u n e d e la M éditefraniW,^;
, La :fornm et leSjgMdeurs sont tellement^mbfahles . qu’on' ne
peut reponnaltre la place, qjuB Getre nouve]le5^)ee'e>,d;oi i j)’rendre
dans la méthode, qù’en1 ayant b sômf de ieg.ii der«i la npu« lu , tille
est protractiïü;; comm^céfe.de nos aulrevu)i(,<i'rpK*clV-s/aJents^éii',
velours très-ras gâVnissent^^bord desmacb ou tsSlc palais esTlIv^l
>La portion épineuse de la-dorsale.est beaucoup.plusf hânîte que
la portion molle. Le dernier ia\on épineux estasse/ éloigné ^tlu1
premier rayon un,q4u ; mais les deux parties, de la dorsale spnp féu-
nîes/sàns interruption par-la membrane. Ilpourrait^seffMfëmu’une
dernière épine manquât* à - la nageoire, par quelque blessure faite
au poisson.
D. $0/16y'A: 3/$6; GÜfty4.4îg'Vrfj6. t/ ?
Lai caudale est profondément fQurmiue. La pectoràm ^est dongtte
et pointue. Lés écaîJ^s.^^ntTwéqiqcrë&fiLa ïïgne Iatérâlà ést ^ r ^
marquée.'Le dô's ést'ploihhfé/aJrèïïets^aunâtipesi le ventre âr^'nîé^*
les nageoires olivâtrés. Il y a sur'la qùetfe, àu-dçvant.de la caudale,
Une large tâche noire : on en voit une autre plus petite à la base
de la pectorale.
lîfous. ayons pu faire; l’anatomie de !celte belle espèce. Nous y
aypajs trouvé un foie très-petit, composé d’un seul.lpjîp, Ot place
à. fauche dèT^sophage j. iL s avancé un peu au-dessous et à travers
ae P oe s o ^ a ^ 'f ét oonnl: attache à une'très-longue vésicule du fiel.
L’estomac est dilaté, a ss^ g ra n d ’,'ovoïde; La branche montante est
trèsrcïmrte. On compte sept appendices1« c'oecalés au pylore. Le duodénum'
commence-par être, ttoè^-dilaté en arrière d ê la pointe de
lësfefmâp. L’intestin est étroit, et il se rétrécit de plus en plus jus-
qu’à.r^inu^jUÙ' il se rend après s’être replié deux fois.-
Vl Les laitances sont assez remarquables. En ayant elles sont.minpes
'eViMïFoymês. Leur portion antérieure s’appuie sur l’estomac; après
l ’àv©9r dëpâ&Té1; les deux làitances se réunissent dans un large cond
u it spermatique, rirais'rem pli ïuî-même de follicules semblables à
[c%lîës! qüi flottent dans l’intmeaj* des laitances’, de sorte que ce
'danahest' une véritable lâitânce unique, qui débouche derrière le
-rectum:J
La vëssie?aérienne ést'grande, fdùrebue en arrière ; ses cornes
sont’ peu* ldngues'LSa3 meinbf'ane'ëst excessivement mince. Les reins
«sont très-noirs, ieuAîs/feii un seul lobe'; ils ddnfiéht par un long
uretère,.quidasse• en,tp,f les fourches de la vessie aérienne dans une
p e tk e ^ ^ îe urinaire triangulaire, dont l ’orifice extérieur est-placé
’derrierTçyui,des laitances.. °
Le seul' mdividu-qpë nous pdssèdio’hs de cette espèce est long
de h u it pouces,
Nqus-|m ayons, trouvé l’estomac rempli de petites sardines.
Le Pic&ppL d e l a M a r t i n i q u e . ,
' } (Smâris martinicus noh.)
M. R^ê‘ja envoy#êle la Martiniqiiè uû petit piearel
à cd^ps, arrondi^ raccourci, et dout’l^|rais-orbitaire plus étroit
^ t : plus -ll^ancré que celui du picard ordinaire. Le corps paraît