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Page 2 2;2>} appè&'U;8ïtiele t|ti
L e MÉRt>û‘'Aux w^^TOMl,Es^jSissÊs.
;'fMÈerranus dermochirusMf p$l).,^&jj
Il ^ la sur la çoie.jde^^OT^mandel un serran^à4 fôrpaes
CQÔrtes et trapues, eotamé. pôtçe mérou.^
et gui est comme lui d’*m brun: , sans taches. Les denr
telures de l’angle; du préopejicul&Sjruil plus faible s, jg&çe;
surtout'remarquable par Tépaxssèttr'^e. là peau!,Jqjîrr revêt ' les
■ rayons de sa pectorale. Cette n&geèïRe est trè&jrgrande et ’arrojjdie'.
Les, épines de la dprsalfe sont courtes, e6A^^m^ùste'S". •.",
H. 14j!lfi;.A. â/8^G.1 7 P. 17;
Nous dê$§M'à Mi 'Bêle^ggj'iun individu de cette ?nôu-
vëïle jèspefee, lequel a nëuf pou*c?èsr de looe^ris
Page 2^7. Addition^ l,gÈüc]^£^^^OMJ|^,oÆ^|!54/,jî\
M. de Mertens a rencontre- jerelte .ejj{>,è^ f snr les' cdWsQdé
l’ile TJIéa, l’une des Garolines^at leR confeurs-du dessin
qu’il a bien v o û lu ^ u s r omm^n^uer, d iffè re m
de [C§Jles’ què Férster avait fdit comiaîtren ?
. Lè corps y est peint en roage^ll^mdrïiûrfR La dorsaî]'&*é^Imn&^è^
bordée, cforange ; sur, la; (partie/ épineùse v, et ‘tmchletée de bleu ,sur
la partie molle. L’miale^^j'Wir.uigéc, .tacheté?;^ points ibfeusj,
et porte en. outre deux,lignes blçues; l’une par le milieuagiff l'autre,
le long "du bord de la nageoire. La ca^dale-esE, rous^Tponcpiee
de bleu. Les deux bandes,"'obliques' convergentes sônf blanches,
“"'ainsi que le bord Me la ûageoire La p ^ t orare°fet les fëntrales
' sont Orangées.
Page 228. Addition à l’article Axti rnéfou %-anale'bordée :
M. Gaimard vient de rapporter un individu de cette
espèce, en meilleur é|®tj ce qui nous permet -dajouter
quelques mots à:notre description, et d’y mieux compter
les nombres ,diS%aÿôus,r qui sont:
D. 9^5^Aa8/4; G. 17,-'I. 17; V. 1/5. _
La^èouleurl‘est uniforme, et probablement rosée. Mais la partie
Aolle 1®=la*'d.o^plelm la; câûaàlë sont, comme l’anale, lisérées de
ffÉpIr. La' caud'âfeilîde plus le bord blanc. Les dentelures dü préo-
^I^ér®ulrf'sont'. extrêmemen t fines. ■ 1
individu ds¥ de même taille que le premier,
qui a î l / t l |p i j e t delà description déjà publiée.
PagpK^èî Addition !à Partiele du,mérou hoelang :
■ Nefast a^<sméîd<l|a dit îqué le raérou boelang1 sè trouve à
Ceilan. MîfeQuoy et gaimard l’ont trouvé dans le détroit
â l ladkuide etaà .la Nouvelle-Guinéf . Ils nous donnent de
^pv.elles^ observations sur les cobleurs du poisson vivant.
*^}!fepu©fia W l a cmiieu’r'*r(fe't’ brun vineux, et les bandes sont
jaungsâfe^fêssus, d^ la gorge et les nageoires sont rougeâtres,
boiMiès dé brun. La partie épineuse de la dorsale est noirâtre.
Page 238^-après Partiele du mérou nébuleux, ajoutez :
L e M é r o u r i v u l é .
( Serrànus rivulatus, nob.)
NousMéVèW à MM. Quoy et Gaimard un mérou
brun, et couvert d’un nombre infini de petits points bleus. Chacun
de ces points occupe le centre d’mîe écaille. Les-écaillés sont très-
' -pçfitei et âpres, bur la joue, aurdessous de l’oeil, M y a trois ou
quatre ligues brunes, onduleuses, anastomosées, qui y forment des
1. Voyez tom e III, supplément, p. 364» lkan-boelong signifie poisson lune.