mérou à préopercule arrondi et finement dentelé, à dorsale
épineuse longue, plus haute de lavant, que nôiis
avions considéré comme une variété de ‘nôtre serf anus
heocagonatus, à causé de la disposition denses couleurs.
Mais depuis que MM. Quoy et Gaimard^viennent Me
rapporter des mers-de la.Nouvelle-Guinée un mérou en
tout point semblable à-celui'çlont nous n’avions que la
peau, nous sommes,jjp.n vaincus;qu’il faut le séparer du
serranus hescagpnatus, et pn faire une ^péc^y»,
Le reste des 'caractères sera comme il suit :
Comparé à Yhexagonatus, ce mérou a le’co-rps plus -haut de"
l’avant, et la queue plus|,é®@ite. LaM&Tàale'nk que onze rayons;
mais ils sont plus éloignés; Püp. de l’autre, de sorte qu’ellfe-g,st à
proportion plus longhe que là portion qui a„ aHpsëpt
rayons. Les second, troisième et ljuâtVième' rayons épinëüxvSônt
d’un tiers plus hauts que les derniers; les autres rayons sont arrondis.
Lié corps est brun fougeâtre, et tout iosmyert de 'taches
brunes-, arrondies. Il y'acfes' tâches plus grosses sur le, bord dé la
dorsale. L’individu de Commerson porte yne ia<\Lii‘ noii^lras-
foncée'sur le d o sd trla ‘queue."
D. ll/f^ ?A . 3/8jjt3. 17:^ 16":-YÎi /5.
Longueur, sept pouces. - ;
Le M é r o u a tête verte.
( Serranùs chlonocëphalus, nob. )
Un autre mérou, rapporté~par les "mêmes voyageurs,
et pris à Tongatabou, lune désolés des^Atnis^,/
a le-dessùs de la tète.et-le museau vert foncé; les joues^fel® clair,
le corps verdâtre, rayé;de sept à huit, bandes longjtndfndfe^g.
alternativement brun -verdâtre jet jaune 6raüg*é. ’La dorsale et l’anale
sont verdâtres, tachetées de brun fauve à la base; les pectorales et
^'des ventrales'verd^tJJ^ckiri et/sans., taches. Le fond de la qouleur
de la caudàfefésæ semblable à.cehû.de la dorsale; elle est rayée de
bandes, transversales rougeâtres peu' marquée^/-
D. * p ï p Il ; P. I l ; V; 1/5;
L%féBéufi ‘dé la b 'o u ® |^ est blanche. L’iris
de feeiif é^ffuv^.yEé^ffi^pnientant du préopercufë dé ce mérou
M e s tfin è ^ ë n t':|en%éfêFLdi^llf|s;t saillant, étûl y à trois ou quatre
‘ dentelut^s pins pnfïeAP *•
L’indi‘iidu^s«presque Huit - police^ de longueur.
Les natullls 'll_e!Épn'£atëibQU Lônt . à, MM. Quoy
ut Ga ima rd s^us S | i p m àe^kpuqn-ho*
Page j j i)7Addition a~IaPruMrataYmZi’Wu vouloir3'
M. B élpnrgert np^æa^pTOiÊ^ë^uttg ^@sp è è e ^ c p jin u e j us-
qu{à-présent p a r-la ^ ^ » p - tîo n . e t llt^gÉ û e d e Russel.
^^p^^wpsYêsrnruriyf^iavërt d e ‘Lu li e l yousses, eparse^T
ef l’.mal&s'êiîf'^b'J'inP^l'r'és ‘ a>cetjimdîcige"Bord noirâtre
^fmsé^eyde' blanfc. ’®e| rayonsfefdm^lofrâwes. La c aü d a lè ^ r OTisâlre,
cl W&l ‘Ê^.M jlA |jfeeuUc chame^rAyÆ’y., y/'a une rafnlet O’blonigue
hlmâtre-iLà pradtôr ale -gsiynoiratisg :l^^MUn.'é'la^ae; habite blanchâtre
<!;;à k-.bâ-se. Lés; deUteluréâ » et, lej-^ord
.- • < infé'E'içu^al on.gc éiSuk-^BM&em éh x .-'
ii lkrtiçle a)oütez :
L e P'LE®^*oôfcAi(|w®^ffirMÉ'^É
« M. Rèraudren a bienj voulu donpe^au Cabinet, du Roi
un p i e o t r s J s u r l’Mba » j de^Aiguille^Set d’une;
e^^gkqui jpaanq|iaâk à;|^^^£#ifiqufe-ço|Lecffi^y
j Ce' jé^iSspn, $ c p | y d é i , , a . le *«f|>rpsjtrapu, haut
uJjêsërlravan%■Sâ hâujtatir, comprise, trois fois et
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