breuses et sur une bande étroite. Les pharyngiennes sont coniques
et peu nombreuses.
Les nageoires: sont semblables, pour leur forme et le nombre
des rayons, à celles du pagre vulgaire. _
D. 12/10; A. 3/8,. etc. ;
Ce poissons.esLd’une belle couleur, rose,argentée sur tout le .
eorps. Le.yentre est.plus pâle que le d.os> La tète a entreJes ,yeux
un croissant bleuâtre et un trait bleu sur le bas du sous-orbitaire.
.Au-dessus de l'oeil il y,a une tache brunâtre, qui 'entame un peu
le brillant métallique de la pupille.
L’estomac est de grandeur médiocre j'en cul-de-sac arrondir II- y
a cinq cæcums au pylore. Le reste de l’intestin était d'énhlré dans
notre individu. La vessie aén'enne est grande, sii^le, etob.tuse à
sa partie antérieure. Ses parois sont très-minces. „Le .péritoine est
argenté.
L’individu est long de huit pouces. m
M. llisso dit que cè poisson paraît-sur les côtes de Nice
depuis le mois dè\Mars~ jusqu’au mois de Novembre^ et
qu’il vit sur les rochers peü profdnds'rLa femelle dépose'
ses oeufs sur les galets pendant 1 été.
Nous avons trouve;l’estomac et la .Mvitfgabdominalé
remplis de débris de petitesjçoquilles j^.ppprcules ;gornés.
Il mange donc dès coquillages-dont le test est moins dur
que les turbo et les rrochus.
L e P a g r e h u r t a .
(Pagrus h u rta , v&b.-, Sparus hurta, Linn.)
Le sparus hurta est, selon Linnæüs, un pagre<Le la
Méditerranée^voisin du commun; mais qui paraît en différer
parles couleurs et par le nombre desrtrayons. Nous
ne l’avons pas v u , et nous ne pouvons en parler que
d’après le grand naturalistp^suédois;, Qui hei|consulterait
que. le caractère donné-dans, le Sÿstema naturçe, croirait
piuftôt à l’indication d’iin denté qu’-à celle d’un pagre; mais
tous les ^doutes disparaissent $|si l’oîf remonte à la courte
notice insérée dans le prodrome du. tome II d»éf la' Des^
éription du Muséqédu prinèe AdolpherFréderic. Iinnæus
y parle c*lâirement|.die• molàiresr arrondies'.1
'"’-lCe h u r t a , latîËéaitébràriéé,'Jèsi*Bii pa,gre dont le corps est
( '■‘traversé'par tés bandés-’ ijÔ‘hgé'sTè| dont llsl rÀyonS“'d§pnâgeôires
sont aih-shç(^ptés.M;£
' d . n ; p. iltjV. ifè. r'
'^E^mæcgfne lüi donne que cinq rayons aux ot$$£^Il dit
que le qrSdsièrqé.*rà%bn de "la 'ddrsalélt'eèl'.>lo'rig; ce qui
pourrait lu faire rappr^Wé^de.;n^Se pagpe d’Ebrenfeêrg.
Mais les couleur#eï4tfenoïmdfes IdfeWsÉpm's' sont diffâéns.
R i â s ( f f ^ ^ ^ S rJ’*,p. ^ ^ ^ ^ ® e i y é dans Usiner ®j|;
Nice urf’pors^on ri'ommé ravella, qu’ilpreffd pour le hftrtà,
dont ib^cOEps - elppayale - oblohg. d’ünèj c®uleui| arge^htee, traversé
de p'etftesiigialP dorées et' de-plusièurs bandes rdïi|jeâifest5 'r
Il do’nrfe V la ■do'rsédë les hilsMés ïrodibrës qu’àmôs’ pfagÆl^è’est-
aid'irë’doüzë épines et dix rayons-mous; mais il ne cotaptë que sépt
. rayons^hiëùs*( àdanale.
E C es nombres 'ne râpportehïiii à nos pàgiejfni aii hurta
deLinnæus, quoique Mt ÉissBi-^ainsi dëférmfné^on pjfs-
1. SpAHUS^Htk’rl. Cauda bifida, corporfi fdsciis^fir 'diu^Ms^ibns, dcnMbus laniariis
exsertis. Habitat id mare TMediterraneo. (Hurta.|H A
. Htntes ^pnmonsJsUperiqns ’q7iatuqpj^ff6sdlVcdpiri^ inferiores. tres, prominuli; laniard
inferiores exserti; rrtplares^ uirinque obtifsi rotundati. Membrana branchiostega
quinfue. Corpus latirni, ‘ cbrnpriess-dni", 'orifice decline. Litlea*liitefaluTmodice curoata*
Pinna; m'fosMla recoridilas. D.tljlf 1 2 /terfzo loA'go); P . i6 {pnrmPsiiApiePfere adnato,
quarto Imgissimo) j; {firman) ; A, 3/9 (validi)-, G.. i%{bifurca)sj r.
6 . i 5