Le P a g r e a l o ^ .g s e i l e t s .
(P a g r u s la u g ifilis r noï>.^'.
]yr. Raynaud a retrouvé sur lat çôte de Çeilau, dans la
rade de Irhlquemaléj. le k ç o ro o ta , dont Rxjs^el a donné
une figure fort exacte (pl. lo ijle Ses Po^aons djç Yizagapa-
tana); mais qu’il a cru mal à propos identique ay% îfetyp«-'
rus spinifer d | Forskal. On distingue ' aisément cë pagre
des pçécédens,-
par son corps plus court et plus arrondis et parce .que ü^iptyÿjis
de sa-dorsale-,' à compter dtLrtjcoisième jusqu’au sixiènae^somt. prolongés1
en filamens, dont la-longueur excède. le,%-d^rmers rayons
mousde la nageoire, et qui sont plus hauts d’un quarfque lei/epèps.
Le septième n ’a pas la ffibâtl© de- la hauteur «jhi précédent. Les - trois
autres rayons épineux ne sont pas- prolongés en filets^ et n’attéignent
guère qu’au cinquième .ou au sixième des, rayons prolongés. Les
deux premiers épineux sont tpèsjr courts. Les .autres nageoires ja’of-
frent aucunes particularités;,.,,,:.
I 0 2 7 I Ï Ï ; A. | | 9 ^ K
Le corps, est. lil;as, .traversé par (fe^baçdes pouipréé^;; Le v§©lre
3 des reflets argenté^ Les /g^geoirps sgtjpt xojige§.t L^riâ ;e^LVerdgtre.
L’individ^r^td@pg de-,sqpt ,pQucgs et depfi.,
Le ddcteur Rttssel indique les couleurs comme M. Raynaud
les a vues à Geilan.
L e Pagre a ggiïçej&iættes-,
' (Pagrks guttuldtxM, nOh.)‘‘*é-
Feu Péron avait ‘recueilli sur; lp§, optes, dp laj^ouyelle-
Hollande un pagre que MM.-Quoÿ'et Gaimard y ©nt retrouvé
dans la rade du port du Roî-Georges et dans celle
de Jervis. MM. Lesson et Garnot l’ont pris à l’embouchure
d’une dfes rivières de la Nouvelle-Zélande.
g ,L| %fûie dit teorps1 est un peu plus raêcourcie que celle du pagre
^ esr ^enls derrière’ les cauines sont fines et grenues,
elles molaihes très-petites. Lè bord du préoperculë est finement
strié etp-comme 'dentelé vêts’ l’angle ^fà peu près comme dans le
chrysephrÿs- bif 'ascmia.
i La.<J,ç|rsaJe est assez haute, quoique aucun de ses rayons ne soit
pro^ça^’é én filet : .jç’est le quatriëtnç qui est le plus élevé. Sa hauteur
%de fe tiers jpT célle du -corps.
, Uqs nomhtfes ,sont :
D. I2/Î0 ; A. 3/8, etc.
he poisson - par sif avoir pté brun verdâtre, à reflets dorés au-
dessus dè^t|®|ne' latérale. Le ventre1 çbügeâtre argenté. Il y a quel-
qu'às_traits rioiratrës,au-dessus de la Ventrale, Le bas de l’opercule
leydo/3 $ont^%.u verts.de taches blanc de lait et argentées. Le
limbe du pré operculé -et’ les, écaillesdü dessus du surscapuîaire sont
glfcées d’argent. I ly ^ quelques, teintes rougeâtres sur ],es nageoires.
N'p,us çji ayops des- individus dëpuis la taille ^dé cinq pouces jusqu’à*
neuf.pgâç.e£..;, ,
L’eston^ae est médiocre.., ^ c q tte a a it dç petits coquillages. On
_ compte;cinq.pBecum| au pylpre. L’intestin ne fait que deux plis; il
se'dilate ; v eirçMrec tum. La vessie aérienne ést très-grande, simple;
is®s parois sont WmGts.’ Lé pêrltéMe est d-un beau blanc de nabre.
Le P agre unicolore.
Pagrus ynicôlor, nOb. 4-)
Une espèce - voisine de la æpyçfdente a la nuque plus..haute, le
profil plus, vertical. Les séries du préopercule très-fines et n’entamant
plus le bord. Les molaires plus petites. La couleur est uni1.
Chrysophrys unicolor, Q. et G.; Voyage de l’Uranie, p. 29^;;