Inâes et de 1’océan Pacifique; nous;en avons nommément
du Brésil, dè Saint-Domingue ét de Cuba, et cependant
il ûë paraît pas. que Margrave ni Parra 'e'm aient eh co h -
naissanôë. '$fous ne trouvons dans leurs ouvrages aucune
figure qui jouisse s?ÿ rapporter.
Ce qui mérite d’êtrélremarqué ,r(e’eshque les formes' des
espèctes^. leur -plus ou moins de~hauteur-, le , plus ou. moins
de. fo.nce< de leùrs aiguillons^ se répètent ^ën proportions
pEësquè identiques r'dans*!|^ deux ^gréâinsj en^ ^ rte que
Ton pourrait eh faire deux séries parallèles, dont .chacune
aurait des membres difficiles à distinguer-de leurs c|«Ë&
pondans dè l’autre série. - l^ous.-^Les distribuerons dans
chaque eh commençant -parcelles §(font les aiguib
Ions sont les plus longs et les phisdfo*ÉSï ' >
Le Gerres de PbuM#iai^h
^ •( &erres P lum ie ri^iù k ^W^
Notre premi èr-k j^^^erdans lamelle d e l’A tlan ti què^sefa
celle que;te;*p&e I ^m îe r â- connue,ièl^-jui ësm.
à caraOt^aser qu’aucune a ^ r e , par v là grosseur 6^-4%longueur
de sgi aiguillons, par les lignes.-.brunes^chvîretieJLs^
qui paçcoiurent la longueur (1 evS^^-cOrps.a'e L par les fij|<p
déntelur.gs du bord MerisM' d e jp n so'us-prbilui
- C’est-un poisson,de; forme comprimée’ ^oÎLttlâ' hauteur .esttrois
ibisdai}« sa longueur.totale. L’épaisseur est trois foisdt demj^dâîfs
la hauteur. La eoùrbe 'du ffosWst- un ppuj_pï^‘;m ^ ^ ^ ,'e l,i3 ^ ï6^id
' un'peu plus rapidemenCà la partie àghfneurlé'. ' Arriv^^ak^tSus-
d h l ’oeil, "elle'deviehï un peù'libïîcavè.-; de*la b o u c h e rie fesoiird
, jusque »sbus la gôtge, .puis demeure presque dnoilteiet horizontale»
- justpfà l’anale, d’où elle remonte pour redevenir droite après cette
. nageoire.
La tête,'dans l’état de rétraction de la bouche,'est presque aussi
haute quedongue, 'et.cQmp$||è quatre.fois et demie dans la longueur
totale; »Son jpqtp présente une figure rhomboidale ; et la
h g j^ ^ p l a c e e au milieu* de sa hauteur, en ,est l’angle antérieur
din-Êèspondant au postérieur.', qui est celui dé l’opercule. L’oeil est
<Jf®rStau-dei;SuVd‘e la.dMqn^le horizontale du rhombe,et un peu
en avant de la verticale ^Johidiamètre est du tiers de la hauteur.
La fehte”de la,bouche n’oèçupe que moitié de l’espace en avant de
l’oeil ; -mais de.maxiMaire sb jpMtequsquet sbus son milieu. Sa partie
■visiblevest oblongue, .'d’égale largeur ; partout.; "Le sous-orbitaire,
élargi en avant l’oeil j son bord inférieur, est en arc
îégjerêment' tetflrant et finement dentelé. Les deux orifices de la
narinSçéponderit |u:de|sM|d*e la commissure ,, lorsque la bouche
I est^riîiréc;im’ax's;pfS|de la ligne du profil ; elles sont rapprochées,
^^besitoutfes.d^ux-pla.pfistfqrieuree^t la plus, grande.* Entre les jeux
est un1 enfoncement..triangulaireyjjdont la pointe est dirigée vers le
.hiut^telj.qui sert a rentjfeïVlè^p.édiqules;'desûntermaxillaâre^û <.
'ÿ;r^^^&lilafforme dtê;dW꟧,?et surtout dfi-museau, dans l’état
dè repos mais" dans la prptraction la beuch^s’abaisse. et se.porte
emavânf, infiérieù^^évient. horizontale, le maxillaire
vertical,IgfeLlWdighe du profil se p,r'®ïpj|ge de toute la longueur de
rapoj^js^mohjan't'&ir'd.e. Fintermaxillaire. La Vfte. „se trquve alors
alôn^Sài-péu ffiltë&Tdu tiersi d^qe, qu’elle ,<®git auparavant.
*ii^if“sl>èce * d’aW^K}S®^is;|féfuel se retirent* les intermaxillaires
; se yfftPiiie-. est formé par les sous r orbitaires, les
naseaux,, et", au:i|^||û^par la partie s^éïie.nrfe.dés maxillaires. *
Le préopér.cuîe;a^on %)fd postérieur vertical, sonangle arrondi
.et,pla?oéjplus-»KaS| que la. bouohe-^sêm» bord inférieur. assez? court,
^dë l’angle duqueb^'a. mâchoire;inférieure remonte : le limbe en est
le bord* très-finemept dentelé. L’opercule est en trian-
glp„ dont Fanglepostérieqr.esLobtus, l’inférieur aigu, le supérieur
arrondi; LeTsubopeijetnîemh|aoé obliquement, est assez large : c’est
: à|lui,bqhappartient Fangle^que l’ensemble" operculaire forme en
arriére;
ChaqdeÂâtjaoire a une bande-étroite;de dents en velours, très