Les dents pharyngiennes sont au cojntraire^plus grosses que
celles du pagel. •
La dorsale^s’élè'ge un peu plus en avant. Sa portion épineuse est
plus haute, et sa portion molle plus basse qu’au pagel. La pectorale
est plus courte^ et la qauqalè moins fourchue.
V B. R; EL 12/43; A.vS/13.5
Le surscapulaire'-est petit et4sÇJ^distingue‘ à peine d’une série
d ?écailles plus larges que1-celles ^uîèorps, et qui remontent.: sur'la
nuque-, en y faisant un large croissant argenté: L’ossature de l’épaule
est plus, forte que celle du pagel ; elle est,d,e même recouverte par
des écailles. Celles d u ^jjrps sont un peu ciliées. On e^^qmpte
près de quatre-vingts dans la longueur et plus“ de vingt dans la
hauteur >du corps.
La ligne ktÔrâlb^t fortement marquée eqya;parallèlement à la
courbure du dos par le quart de là hauteur d u poisson. -
Conservé dans l'alcool ,4ue poisson paraît -grisâtre'sur le-dhs#èrt'
â toujours une large tache noire sur la naissance de' la ligne I té rai
©, vers le haut de l’épaule, et qui est tæaversée-par la ligne latérale.
Cette tache, découpéetsurdes’hofds, est forân?éé^par la réunipn
des taches noires qui^sont A la base des écailles.
M. de Laroche, qui"l’a vu vivant? auprès d’Iviça/dit q u r ^ ê o s
était d’un gris^brunâtre, tirant sur le roùg^, >6t plus fon'çé sur la
tête que partout ailleurs. - Les -dèèés- l'ai?gèntfi, 4a dorsale
et l’anale brunâtres y iéstpectorales^ et la caudale rëb|6a>ti?és ' et Hé's
ventrales d’un gris très-clair.
M. Rjsso, dans Jg>n Ichtyologie.„de-Éücç , lui
donne ^ ^ co u leu rs ain peu. différente?,
Le corps, selon lui, est’argenté’ et couvert de petites taches noires,
et auprès dés opercules d'y a une tâché nSife ramifiée1, moins fon-
! cée- cbéz la fêméllè. î:
II, nopE en a des de^siiig colorés qui se rapprochent
bien plus de la description de -M. de Laroche.
p t e dos y paraît rose', avec dés raies longitudinales bleuâtres. Les
flancsi^diéi-ventre sont argentés, bleuâtres et un peu dorés vers la
queue. ^La nuque est noirâtre.* Le bout du museau et le dessous du
tojUr de l’oeil sqnt bleus. La grande tache noire est en- arrière de
l’opercule. La partie épineuse de la dorsale est jaune. La partie molle
• est teintée de rose. L’anale est-bleuâtre,'bordée1 de rose. La caudale
est rose-foncé; lés pect'oralëS roâes;, un-peu teintées'de jaune, et les
ventrafes rbsës/ lâveës^l'ê bleu.
. M q i s ^ u |^ s ^ | qo^|eurs sont.très-différentes de celles
que avons.„ohs.6r^éy& nqjqjg^êmes sur un asse^; grand
nombre d’in4ivid,us de ^Qs^ojtes de la xManche.
TottS-éiàienC d’une belle teinte rose y à reflets 'argentés, et qui
,s*s?éteiùt^ur-le ventre, qui est presque blanc. La taôhe noire de l’épaule
fraiïëhë Vivemeiit stj¥ be fond. Les nageoires impaires ont
quëlqoesnèidtés/ jaùrfês tes nageoires paires sont rosées. Àu-
desstts du îsü^s'cipülairè^ès* écaillés sont trës-àrgentées. Malgré cette
'SiverMtë yè^foldehr, A nous n’avhns'pü trouver aucune ' différence
spécifique dan-s- les larafres. j
,-î^ks examiné Jes; vistèreg, d’un individu delà
Rqphqlle. >,
Le foierest petit et ne consisté qu’en un seul lobe triangulaire,
peu ép a is« piaTcé- dan’s 1-hypocondre gauche de l’abdomen.
Leés^pM'Ië’^est cburt et peu- large ; il se dilate »en un estomac
^aaédioêre*à parois minces, peu pldssées'en rMau« La branche
.^montante en est courte:;) à paroi? épaisses et charnuès.
L’ouverture du pylore - est étroite. î|e n’ai trouvé que quatre ap-
pènmçès ciéhalès; mais je eraindrauTqu’une cinquième n’ait été
•dé|amtéeHpar ,1e mauvais état de l’intestin dans cet endroit.
^ Dés quatre que j’aû vues,* une passe sous l’oesophage en travers,
ainsi dans le c6t!é'gauche; ® trois autres sont parallèles à la
direction de l’intestin; elles; sorit grosses et de moyeüne longueur.
Lintestih ësLàsSez lôrig; il”se replie deux fois ': la première, âu-
près dé l’anus, et la Seconde; sous le diaphragme. Le diamètre en