forme et sans taches, d’un rose tendre sur le dos*, qui s’efface- sur
les flancs et passe au blanc sous le ventre. Toupie .corps ,a d e s '
reflets argentés.
Cette espèce .-.ésbaussî .une des dee©#^ertes de Péron.
On en ignorait la patrie lorsque les naturalistes de l’expédition
de: M. Freycinet nous ont fait«{eon»naî&|<- qu’elle
vit en grande abondance sur les, cotes pncîdentales 'Ée’ la
Nouvelle - Hollandfqy dans la baie des ,C h ien s Mariné Ils
en prirent urr grand nombre à l’hamèedn pendant leur ire-
lâche. Les, plus, grands individus avaient un pleM,.
Nous devins faire .remarquer que MM.'Quo^et Gaimard
ont exagéré la bifh|;cation de la %udàîe‘ (pinna câudali
valde bifurca). Cette nageoire n’est pas plus feurcWë q u e
dans les autres esd^Te^ de^cegenre.
L e Pagina défenses^..m
(Pagrusr laniarîtes1,
- O n tro u v e su r le s ^ ô te s d u ,§ap. d e .^ n n n e - ^ ^ é r a n e e '
u n e e spèce très - vdîsinfe^dernbjr,e pugrus orpJïüs. ^ à u s .
l’avons v u e dans là c o lle c tiqm dm ;Muséë, royal des P a y s -
Bas jJm ^ J le ^ à éfjg'-énvByée p a r M . V an Horst. '
Elle a le corps plus., h au t, le profil qdys perpendiculaire ,2etl’espace
entre le bout dp. museau- >ëj l’oeil plus c ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ q u i fait
paraître le front plus protubérant. * T'éloigné- de
l’ôrphe consiste dans lar-pfésence des écailles suMë limbé'di^hréo-
percule. Les dents co’hiquës de lâ'îMâ'chofre^ujf'éÉièuïe'Sont dirigées
en avant e^Mrtént tfe tarbouche. Les’ deux fi^xtêrrieS sont plus
ï4 longues que les autres. CfeHes de la' rhâchoiré 'inférieure' Sont plus
petites/Le^ dents'coniques? dés ëÔt'é|*'de: la ’mâchoir&sontaussi plus
petites. La dorsale estrplus haute. Les nombres des rayons sont les
mêmes.
r ;G,e/ poisson, paraît avoir été d’une couleur rouge uniforme. Il
est-.long. d’un pied.
L e P a g r e m i c r o p t è r e .
t \(P a g r u s micjfQptgpusi. nob.)'
de la mer d'ës Indes nous1 devons en ajouter
un qüVrioSs/ n’avonsr-pas^vu, mais qui a été dessiné
par MM. Qtêày l'«t Gaimard à l’embouchure de la rivière
Tamise, dans la Nouvelle-ZélandlPP
‘Vp,efst remarquable par le peu de hauteur de la portion épineuse
de la dorsale. Lé Îriqisiéràe^gpîi épineux 'est ie plus long et ne
* “Repasse pas ® rayons mous, qui sont dtPdouble plus 'longs que
les dernÜPs épineux., Il n’y-'a que. deux epines faibles et courtes à
- 1;anale. Les nombres sont-: -'
D, 12/10.; Aa2/9, etc.
: * hGës ’vh^gétfre’ ont fîgtifé' quatre cafrifees- O a mâchoire supé-
à^ïieuré ^ët -six-àd’in-férieufe.1 Ils n’ont vu que deux rangées de petites
molaires.
Lançouleur du corps -est un lilas rose,, parsemé de points bleus.
.l’^ a le .et^esipectorales, sont roses. La. caudale est de
la même cg^euï\,.,et ses points passent ai^rq,ugeâtret Les ventrales
sont bleues. L’^ |^ > p ra iig e . Le dessin esjt longue sept pouces.
L e P a g r e o e i l - u ’a r g e n t : .
'^^Ph{*ruS' àrgfcropi1, nob. *) '
On trouve sur les cotés; des “États-Unis un pagre reconnaissable
aux deux .ou trois premier^ raÿôùs épineux de sa
dôfsàle, qui g ! prolongent W m i filet souvent assez long.
1. Spanis argyrops, Linii. ; Lalnis versicolor, Mitch, ; Spare zanture, Lacépède
t. IV, p: iso. -, ’
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