qu elle! res^ fort 1 estimée! ! Les- Français de dÉ$9ɧ ^colonie la
nomtaent casse*kuj$g&t/ipapce qu,ellei8e|nourrit>deïe1Dq|uil>-
lageÿ quelle brise Sous ses molaires. Ce'-nom est\aussi usité
su t le® oefiesiiéerifÀunis^ »selon Duhamelfj mais, àiïeè'sqki’il
parai tî^pour un pagrp. XÎê.s petits individus n’ont que six
incisives a la mâchoire ritoférieùre, 'e t iè s i^ n ts molaires
latérales de la supérieure ;<§oüp»poiéÆuès'J »
Lé SarGcHË ÿÈ$M-DE-BÉfciER. - '
ÇoargtjS ariès, noir)
p -Iies ;côtes de l’Amériqùe mérîdionaleKontnasu-ssi' des §aiv-
gues- peu diffërens 'des'nôtres? etïencQré iinoiqs^du sheeps-
haad. Le premier, que nous appelleront tête.-de-bélier,
' ale^profll 'dii cfes encore plus* Convexe que nans1 ^u'ÊùniiutFe , 'et
t sdn museau avahce un peu plus qiie 'dans le precénënt^Ses; denl!s
- infcifepvês ! sont I pluS îémûltë&$ et plus lon-gties^ ' lês'£ molaires SSdïrf’ûn
: trpqu1- hioins Txombr.tftïse&.i Les épines de l'a ddrSaleet la secondes de
, l’angle, 'sont be^ufioup plus, f©^és^KaiUeurs^l^r<^l^^ii0|rent
■ RU^i ajurie
>as»ec sept - blindes .yçrtjcales^, étropffi rtf,^ |s Jié^.ement ..inarquées
que dans ndfrer premier s^rfeue. LaMdpij^
1 finale^est plus brune. Il n’yta pas,âe'nmr!<ffi> lé cwssaiiC n é la
caudale. Les .ventrales sont -bie43tM^|pc'El6'ü 'iîbiÆs'^
IJ.;ip|vL*l/10rC""il; P. 1»R® p . ' j
^ï'fpus n avons;pas pu/faiiie l’anatomieode l’individu,;|on|
d’un pied, qne M. Delâlande a .rappoété^de Rio-Janéiro.
M, ElégJeâ7 aï e&SRÔÿé nnj'Seoend, qu’il» a /pècfeé danf la
Lfeuée defftfafliaeaïbè'? mais il ne nôusi^ppïéndnrieia^ à@n
■1 Pêches y 8.’ pàti / sëèt.'ti £ p. 1 0
su] et j "le temps" lui ayant manqué pour en faire l’examen.
Cet individu àVait îustomac rempli dé fucus.
. Le SarGjUe rayé.
^ . ^Sa^güSr UnedtUS, nob.')£(.
On pdssède depuis long-temps au Cabinet du Roi deux
S^rgues - empaillés, , que,' nqms ^cr^yqns du Brésil,, et qui
sont jgnsins tous deux dp icelui ^ j a t nous venons de faire
la (description.
L’un a le museau aussi obtus, les dents incisives aussi étroites,
en lüénïë nombre, huit à chaque mâchoirej èiils il diffère par une
^"dorsale, plu,Sî^®5Èe^aaopt les épines>s«pint plus faibles-, et par lés
nombres des d^ons.'
- D. 17; P. 17; yl 1|5.
Çe p|mSwi norâaioptr e^encore ôinq bandes,fort étroites, comme
"é'I d&§iEa WK.esi -qui descendent, dn dos surles jlanps. La queue est en-
tqqfée par une laièe bande iiqirç, Un anneau. noirâtre entoure la
base delà' pehtorale'.fîes vèntralés pàraissérit'àVoir été noires.
L’individu a nquf pouces de. longueur.
Z>e-‘pAR^&f .R^ AHWÉ.
fvj^Sargus^asciqtwSjiQob,),, £
Le sécjdnt^ déscès■ sargiies;-'
à' le' corps beaucoup plus alqng,ë,,}e ;museaù»très-avancé, des inci-
^sives étroites et très-proclives, une dorsale basse et une anale plus
éoinh'è. R ^ ^ P f ’travéî^é par cinq wgés rùbâéfltjtd l’éntpùrent
* préstjüeéh entier. J
' p -À v ilftA i'^ î^ 7?p- 14? ilifetH v
Cet individu ëstdoiig dfe plus d’un pied; * •