Le surscapulaire est petit et peu distinct, si ce n’est par la1 nature
de la peau qui le recoilvre; Il y a huit écaillés,» sursCapülàires,
dont la réunion forme un sillon-- crëuèé" suhfe nuque, et! détache
une plaque-composée de troisur'angéés; d’écaill^^EelW du||'oRps
sôïit finement ciliées! sur leujfbôrd liBré;. Le^elld - radical lestd'en-
telé. Elles” sbnt 'deux « f s plus hautes que l§rgës. ©n en compte
.environ soixante-quinze "dans la longueur „-et vingt dans? la hauteur ;
il y en a tme très-longue ét très-pointue dapsri^aissellefoe- la" ven-
■ traie, ,et une autre :plus,e«ïÊrte, mais toutt aussi pointue; entre 'les
; deux na gëoires. -t
La ligne latérale est fortement marquée,par un lâ^gje ruban d’une
- couleur! rôügehre,Ærs®rîchaqu'e'étàïlle de’cet-tb'ligué'on-'vowdékx
• -petits ports percés l’un au-dessous dêgl’âütr-e. c. 1
Le d ô f ^ t gris1 plonihé^ ét^i^p-ide -cinq à'SÎâJdighjes longifodi#
. nales bnùaqs. Au-dl^s'ous^de daUligne- latérale' lés foôteS.sont jaunir
très-’, »à reflets .dorés et mêlésidèltÿ®e^SheV/p^l(M^'diis^"(i)Mh-, par
séries irrégulièRésfe Le ventrea^ife^ge^éA-thisf^W&t dtsîd&piÉlëvës
: Opines de- là dorsale1; au-dessous 4 e la ligne! yaa« sur
chaque côte une grande tâche niàirâtré. Le? dessus.!dedafeê'te'-eMesf
- joués; ont quelques .teintes! bïéuâtrfes- ànrpfldK&a^fixs^-ffiS^lés^ës-
- sont' copieur de chiir. La dorsalev%s#dUfé,tavéèMqi|êlg^^4ï®dkes
-uirougë&tres sur l’amèVe;-L’anale^etlâf<^qdk^s'dnft-orangées,-i l a c tées
de points bleus.' Lé&plflorales^â les ventrdesl^Mrià^ugeâwès ;
-. mais-ces; couleurs paraissent;,sujejttès-'à désrcharfgen^nsyÊildh les
saisons, le -sèt e&ferf-Agë- du,
. . Le.f6iàè^pëüt^dé«auleurjpâle. L’estomac est -arrondi
- en hrrtèï^iç'O'inmê une. cômud ^JÈà^branche!; montante' rest IpBjSgpfStef.
Il y â qualrelappendices longuest’fet-grêlesi ato&pylorer ’•
„r- iL’intëstin(|^plie'deux fois; il a <|uelqûédô$f||ifùh‘ La valvule'^ui
, fermechentrée duî^éetrHir'^sépïès^^pl’anusi, ce qui rendiceraetder-
: nière .portion .dé. 1’,intestin ^|gzfe^ahrteB^
La vessie aérienheTtest simple r étroite ;jarrbndief;|és'iî|M*ti'e! antérieure.
Elle IflSdirise - en arrière eh deuxJ-eqrne^TâîKwpshiohgü'es et
coniques, qui pénètrent ffo’-ulïaque côté des interépineux de l’anale
dans les muscles de la queue.
Le squelette montre que la d*rète mitoyenne a peu d’élévation.
O n s S p te vingt-deux, vertèbres à la colonne vertébrale; neuf sont
abdominales, et treize caudales, qui ne portent pas de côtes,
tu^lé: poisson ne dépasse, guère sept pouces.
SM ôus avons- réptt àêt):e.mendqlfe;clô Toulon, de Naples,
et' à<$ quelques aq’tïiÿ ; |pôints de la Méditerranée.
Qn la_:prend toqt^|\rmM sur les, fonds- pouyerts d’algues.
LS&elle^mlpleine^dÆ^^jadn^-a^rôré en Juillet en
Août. H H le maüvaisf|oÛL de sa chair en
font pàrfout un p jfe èn ihéprSéV^û'’ nom Sert même à
de magnamenole
S , ' g f a n ( | eV i n j u r e .1
On ndi'uVnîf'Içe^oi^ôiia Marseille mendotë, selon Ron-
dfifet cl Bel<?m|pt mundouçq^eion Brünnich; mais c’est
le -prerfter ;iom qui e§t le. yrai. En Italie en général on
î’appelle- rftenôla\y leséO'énois' -prononcent menua, g selon
M .- ^ ^ n iy et' les Siciliens minola^ |f o n AI. Rafinesque;
les'5 a^ïfds( amendolo, J o n M. R i « f M. de Laroche l’a
entéûâu nommer lÉdyM; madre-soldat. Les naturalistes
qui dËM%er le Pélopdn|s^ nou~s assurent que
le s ^ l^ ^ IS s cohfonf|nt la m éa f e k ÿ vec le picarel sous
le ;nôm Iplïnpiuii■ de 'pcttytiïoi. Forskal prétend que les Grecs
d 3j&ft^m|B^<fefionstantinople la nomment â&çsKcc. Rondelet
Lui a t tri b iiéeiie o re les noms&ynjc/eJet de cagarel,
eu7 n s i% ® ^ ^ n t p e l f ê f f sclave „dans F A d r ia ti^ e ;
rû-âislp^û.Vetfe1' drésignent-ils quelqu’une des espèces voi-
sififeM
1. INÏaïtens^yfoàgéjàjVenife'^t. II, p^424-
6 . 3 8