aérienne çUeuestj simple, fort grande,, à parois fibreuses, assez
- épaiss.es„e.t recaauyerfes.fpar un péritoine .noirâtre.
Cette dauraj|l, que indiens" Comment
kalowhy, jggj; Jbbndante. p^dant^to^|g, l’appée 'Æms la
rade de Pondichéry, où l’on^ep, fait,un&_grande pêche,
a* cailla de la bonté de. sa chair.
M. Léschenault assure que» ce poisson est.un excellent
mangeroet qu on le sert sur Igs meilleures taMièdb^
Lespèpe,se porte jusqu’aux Moluques. Il s’en trouve une
figure assez-reconnaissà^le dans le ’Efeueâ^es^.einture .de
Corneille de Vlaming, intitulée stompneus ( camus), r
et représentée gris argenté, i'avee/dduze* à quatorze lignes brunes
longitudinales. -La -ligne latérale est très-marquée* et de-lfôlfle'ur
brune. Tdûtës les -faagëôires -sontjaunes. * <
Renard a reproduit ce dessin djgis,s,on,lpl^rage, (fol. 27,
n-° 147)$ mais d la peint de,couleurs-si différentes que l’pn
a peine à le reconnaître.
Sur un fond bleuâtre il a'mis Sept rühans jaunes longitudinaux ,
et trtfis rângéëS de ’grès points'nôifà::
L a DAürâde c h itc h il Î æ?^ .
I ‘{Cjirjsqpftrjs,chr^sargyra, nob.,1), ,
I Russel a figuré, sur, la planche^g 1 jde «d û . Histoirp des
poissons de Yizagapâtam une daurade'"
dont lès formes sont à peu près semblables à celles de notre' sarbe;
- mais les couleurs enfèont différentes.* Selon fauteur, elles vârienifsur
les différeni individus d’après: leur taille!. Celui' qu’il a-déerit afrait le
front bru n -glacé de vert; le-reste de la tête argenté ; le dos ?et -les
1. Chitchillée, Russel, p. j 3, pl. 91.
- côtés-rayés par pfes- filets rapprochés, alternativement dorés et argentés1,
.courbes-au-dessus de la ligne latérale, et droits au dessous.
* Là*^ dôj’salë'. est cendrée,1 bordée!de noir, et "leis rayons osseux
arg^if®té»]^|^.s -âütres nageoires 'sont-d’txn jaune pâle, bordées d’o-
rangÔvÿ
fjfffÇe poisson atteint <à treize pouces de long, et en excède rarement
Jlize anglais. Sa,chair e f f o r t estimée sur les tables,:
js a des individus plus petitsfsur lesquels les filets dorés deviennent
rougè|fcau-déssus‘ <def là1 ligne latérale, et brun jaunâtre au-
dessôus.'©arts ce cas l'es nageoires prennent une téidte Vouge.
Cette variété appartientrgilp bien à la même espèce?
La D aurade hafeara,
4 ( Chrjsophrys haffarfc; nob.; Spaiüs hajfard, F o rsk .)
Les! ichtyQlpgistesmuraient eu de la peine à déterminer
par dès càîfâ^ères ,phéçi§./ le sparus haffara de Forskal,
si ffl, Ehrenberg navait pas retrouvé le poisson nomme
Hajfarâ sur les dotes dë la mer Rôùge.
, <?|ist une daurade à corps âlohgé; àt nuque peu élevée, à museau
qbtu| yjA dont Tg.’ dent* ovale paraît sortir de bonne heiire. Nous la
‘’’TB. ô\ 011s sur,des'individus quî'n’'ôht que six pouées de long, et pas
' ' ‘ Eout^Pfâit dèUx ^uucèl'dè haut
’ La couleur est argentée", un peu bleuâtre au-dessus de la ligne
i «latérale, ' avec des lignes bruhes longitudinales sur les, côtés, qui
s’effacent promptemenf Après la mort. Ce qui la distingue de l’espèce
précédente, eslda tache f noire alongée et étroite, qui-est le long dti;
, bord supérieur de l’opercule.
Nos plus grands individus n’ônt, que huit à neuf pouces.
D. 1143; A. 3/10; Ç.,17; P. 15; V. 1/5.
Je n’ai pu compter lexiombre des cæcums, à cause du mauvais
état de conservation des intestins. Le péritoine est noirâtre. La vessie