CHAPITRE 1 IV.
D e s Gerrés.
■ • Nous employons ce, nom, qui se ti-ouyes-dansl|FIS^àu-
teurs latins1 S t que quelquesjdül* ont «UKclésigner un
picarel un genre0^ÿoisspns-quènnu^ ju_(L
nécessaire d’établif^et qui tient # u \ pi&lpls
et , aux mendoles1, de l’aùtre^aux eçuida^ û a , Jfpgaipe
ces trois, genrcf, la bouche tçès^pEôtà^c‘^ 1 e-^m^^elle J
^sun^ntl^là 'manière, des equula, -ÿdout k^Jèk1 >taP~
pfochenf âu§si* Par .les- proportions, geï^flleb p la q u e , des.*
piGarpls,, ta n d isii^P ^ ^ jp p p roH e n t dâpfiiage.
rels. paj- 1 Plirs grai^Éÿ écâlll^ CeUe,-1 n>ukh©£ken
jetant en, a v a n td ÿ ^ ÿ s f i parce' q u â f t gjédiculefe| l«im
% rm a x illa ire ^ t^ lû s lS ,.Aue la m â c h é e i n f ^ u g e ^ '
La fentêTen est- p e tij|||tr a n s v e r s a l dëprimlll; elle'isé
retire dans rétMcff©"inepo'sf‘S0 us urieVnfaSe Lum'(iîJï*pli i
les >os propres d u nez et' la partie-aantéricupe dibsOscfus-
orbitairê^- mais la partie^p©|térieure - de.cçc» déinirrs#^
retrécitipar un arc rendant denmanietq.àwae ])0£id,^^gj
vrir le'maxillane^.dbnnle&âèüx tiers> éh:ioT||l,de pla'qqp
obïôngn®^Sohtwisiblesï et'plâ^iVbliquemont*"à Eifr-rife©
de la' commissMé.'.Cet^^ prend.,' loksidlflla. protections
utiè position 'vertinaSH g
- f t s lèvrëS^At charri.ues ë \ assèV-iqiaiSsesy ;i:
' • 1 i-iPÉîïéîf&ÿborWfe-fà nontwties d®n§-le®«il&pitre n- du livré XXXII.
Màrtialt^'XII^^Ji^&sjSo^eSaW itoeridolesr : .
- 'Jouisse-^ej^espïut inutuèSlmoenag
Odor imjmdicus urcei fatebatur.
CHAP. XIV. GERRES. 337
Il 1aly.a5.que de petites dents; en velours aux mâchoires;
]e'palais"ni la langue n’en, ont'aucunes; les,pharyngiens
les ont qfeLuses et serrées,- mais petites; l’angle et le bord
inférieur du/préopercule sont presque toujours: très-finer
mbnvdentelés; l’opercule finit en angle obtus. Le corps
eA<tffc@mprimé>et.-élevâtoutefois la poitrinè Aest pas tràm-
nhanite, maissjiéou^ék carrément en dessous; le crâne, la
.jofhé le’si|pv^ p s ^ nerculaires- ieh.tout le corps, sont cOu-
-yfèïfë,, de '.grandes ; égaillés-;, qui jtornbent facilement. Les
rayons antérieurs de ‘-la dorsale e%de l’anale forment des
pôin^ès plus éJ.(?vi^Sqü-e lë r ^ te dë.ees nagebires’, dont la
foasë/^MÆa-rnie tQut du long-d© chaque s coté d’une lamé
d’écaill’^Cidistinguée du reste, dmcoips par un sijlon ; la
caudglêj ^stApurchue ;d,es^:e cto raies -sont longues; et poin-
« s V^At.i?a.lef» r tënt^ii&dn tierg anÿjérieur des p ee-
toral.esOE|fônt muniiebau-desiusde leurbj^se d’un appem
|^,ee fbë;ïu6ut, ' membrâneük et écailleux ; la Iigaae latérale
est „parallèle a u ^ fA e t^ o n interrompue.
f wQn peut jugér dëjj'a.ipaf oe jjnombreux caractères communs
à Jtpuif de genre ;<ai. quel p p in t les espèces doivent
/è rêlslembler entre elles, et 'combien^ elles'doivent être
jlf f i cites.àVoaAa ctëraÉèr :? les Mouleurs mëmen’ÿ: aidqnt point,
çafejslles sont t f * ! ^ arg<^oee^,.ët presque;, toujours sans
bân'(|e|ifni tachè§.,fni aueun^marque colorée, en sorte que
Ldi. .ne peut guèa» |gs^ distinguer, que par la proportion
jde la ba.u|ëur de-leur, corps1 à'mllpngueur^ et par la, longueur
et. la groW^uA Eelati^êèdes aiguillons de leurs nai-
geiiilGOS.'
Cat,esby a. représenté un de ces5poissons *, qu’il nommé
l^iCateshy/ Carol,, t. II, pl. 1.1 , fig x. mm