ment les mêmes, et il marque et mentionne expressément
les raies grises qui en parcourent la longueur.
I1T intitule hepatus argenteus, eFdit qùèdes ’ Negrés4 de
Son temps'Tappelaient pêche-peine tait probabl^nent
pêche-penne, ce/qui :se rappiortait sans di/uïeyau • tuyau
formé par lë^pfemier interépineux dé l’anale dans les ^espèces
de ce genre ;. circonstance, qui a .fait nommer plume
certains pagres où .nous avons vu quelle se rencéhtre
comme dans les gerTçs*
M. Plée, qui a recueilli la même êèmea». PortOr^i^É,
nous apprend' qu’qn ly nomm^el-mpharra^ce qu’il; traduit
g zx fe rd e la n c e . C?és£«n effet-Jie.sens f e jêè-Snoten
espagnol'; mais je ne sais si son emploi, pour dé^ibët/Un
poisson, ne tient pas plutôt au nom de “nmücharra que
les Basques donnent'*au sàrgue. Quoi qu’il enf|foityymo-
harra, ou mocharra, ou m o xa rra , aùjourdùur la
dénomination générique des ■-gferïéts“ .dBamaes ^Espagnols
d’Amérique , et nous verrons qtt’on Temploié pour Ténia
differentes espèces daris' toutes les colonies^ dej;en^Te|"nâ-^
tion. Celle-ci est, selon M. Plée, le poisson le plus commun
à Porto-RicoT et qui se gâte /promptçmenL ,Sa;(|hair
devient molle très-peu de temps après qu’il a été pêché.
L e Gèrres du Brésil,
( G erres brasilianus , ïioi:}
MM. Delalande et Menestrier ont envoÿ,é du Brésil un
gerres tellement voisin du précédent, qu’il pourrait bien
n’en être qu’une variété.
Sa principale différence consiste en cê que le second rayon épineux
de la dorsale est plus court ; car sa hauteur ne fait guère
que la moitié-d^ Scelle du-„corps, du le cinquième de la longueur.
I^^ipsV«fj^g|btaFgenté^'àt, on compte dix pur.onze raies grises
: lpMomg' dé-chà^üej^êè’ifîé^f-'
’ À. É/9 ; € 'h ; P. 16 j V.‘ 1/5.
;^ T pilOmusa rmCahinet du Boi ro n t longs de huit a
ne^pouçèS^M. PJée én a kussi envoyé de semblables de
PoMç»-,Ric%&©u oM|s/,confond avec l’espèce précédente,
^f#} le.n'om de mafîûrra. Il y èn a un au Muséum britan-
niqhff^Uds là i^Te.dtib.n de Slbine, qui vient probable-
mÉxlJpe la Jamaëque'; mais a en juger par les raies et la
prqpÉpfôdh des^ j kes.« ^ n ’est, pas l’espèc^qui est repré-
s.gu-té^danS lHistoimna^turelle de: cette île (pl. s5»3, fig. 7 ).
L e V errès rhomboïde.
( ^f^.Gerres.-rhgrnheiis, non..)
,:Ün' tEÔWreme^êrfés, qui vient eiicore de la Martinique
é t ^ ^ ^ a i n t -D oimngùè-,
,est pluTs haut,;que les deux premiers. Sa hauteur n’est que deux fois
' dans fsa îong'tteüiy en n’y' comprenant pas la caudale, et deux fois
: et d'emie quânp on l’ÿ comprend. Là epurhe d ^ ^ tp dtos-èSt en arc
deJeSÊfelê; màis un pêuSplus-convexe en avant. La tête a lç jquart
de la longueur totale, et est aussi haute que longue. -Le diamètre
de l’oeil est d,un.peq..plus du quartj;de la hauteur la partie de son
maxillaire xâsible, î$ys„de la rétraction, est plus large en ayant, et
trois »fois aussi longue que haute. Le^ Lord inférieur de son sous-
/• orbitaire est en arc légèrement rentrant, et sans dentelure ; il y en
1 ' a une au/contraire à l’interopercüle, mais1 |jâct>re phis fine que
’celle du préopèrcule. Les dents so n tsi fines et si courtes, qu’on
S né 1$ apérçoit qu’à là loupe. La pëétorale a presque le tiers de la
longueur totale. Les ventrales sont moitié plus courtes ; leur épine,
arquée &t comprimée, est des deux tiers de leur longueur. Le seê,
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