CHAP. 1. SARGÜES. f #
premier sargue, où seulement la tache caudale est oubliée.
D apaîls les : oeéâeejguemens <jui lui ont ; été envoyés de
Touf^p, le sar'se n o u ra t/[eom m e lav d au rad e ,d ep e tits
poissons?,’ de ^petits ieoquülages , ’ dô< ! crustacésf mais ses
mâchoiresu’étant pas aussi fortes, il ne peut, comme elle,
grosses' èt sen nourrir. Le sar
se jette aveci avidité suri les haims amorcés de petits poissons,
étalés .pëcitaeurs’ l’aiârènL avec une pâtée composée
de ^ômâge / de mauvÆééosârdiiie^ et de farine épatée
qui n ’attire p'as les daurades.« C’est un poisson tout^à fait
littoral, qui ne s?écarte jamais? d e sc ê tes, comme le fait la
daurade; laquelle ne s’en approche en hiver que lorsqu’elle
est poursuivie par quelque gros poisson.
oM. Risse1 nous paraît ^ o i r f copmu e t‘ démit notre :pre-è
mier sargue sous le nom de sparusjjsargus : il en indique
les'Couleurs* et les nombre^! des rayons, comme nous les.
avons trouvés;'Selon lui/ cè poisson est commun dans la
mer.de Nice',"'et .y atteint le poids de deux kilogrammes.
M. Oeoffroy &> observé le> sargue de- Rondelet à Alexandrie,
et »l^ifaitgraver dans la grande Description de l’Ëgypte
(poïssjgjBs, pl. i8, n.° 1), mais sous le nom de mrgue enroué
(sargus raacus)., et comme si c’était une espèce nouvelle ;
et ©test* à nôtre sëTëénd sargue/ à celui de SalvieU j qu’il
dohne le nom de’ tàrguç vulgaire. M. Isidore Geoffroy,
en publianti^^mapuscdts cle |>nn père, nous apprend que
raucus est la traduction du nom#arabe cïe ce sargue
(ghenyné). Il est, prpbablp^que x e nom vient de quelque
bfüit'foütd cJue ^|îbîMsdn iâit ëntëhdré quàüd On le prend.
M. Geoffroy cépendant né nous donne aucune explication 1
1. Ichtyologie d e iïic e , p . iâ®6 de la première édition.