GHAtëi XII. PICARELS. 517
; sur Wtûlîê',-isur-4 e dorps, sur la dorsalf et sur l’anale; mais la caudale
n’tffl^auqqne tr|ice de points bleus. La tache brune de la
partie antérieure, est plus^arge^elle s’étend jusque sur le quatrième
rayon.. }
j i a ù s ne pouvons pas assurer, cependant que ces différences'ne
tiennent pas jpi.sexe, au temps où l’on a pris
e k rp p iiîn s 5%gar"-leS" rapports de la hauteur à la longueur
fvarier, beaucoup suivant le tat de plénitude de
.ggs animaux.
Des Picafels étrangers’.
D é
^ S m f k i s H a n g u s ^ a t m l ' a n g u s t a t a , Soland. Park.)
Nous a,v|)ns trouvée c^ans les* dessins de Parkinson une
figure f a i t e q u i ressemble b ^ ^ u p ’ à lmsi-
diateur.
' ‘hétrfoflfrei^cs rayons épineux M B I mêmes ; mais il y en
B B A- w j M ÿ ÿ i èest
pnndapa'l
le bout‘t ù museau jaune.
■ n^oikndeiî'avait nommafeektfe dsp*è«@fe séioena angustata.
Le ¥vcrKML Royer.
. L ifaS&qriS' RpjWiv B o wd.)
Qn trouve à PortOrSanto, de Madère une espèce ftrès-
voisine que M“a Bpwdich y ,a J f e ip e e , mais, que nous
n’a Æ p a s ^ i|Æ e !i,M . Boydich M — une courte
d < ^ p t îq n , qui est p u b l i ^ v e o la figure dans sa relation)
pos|hume(p. 123, n.0