face est relevée par une arèpÉpsseuse qui se termine en une .pointe
assez aiguë, ce qui pourrait,faire rapprocher l’espèce de§ siqiçnpïdes.;
mais son crâne n’a aucun renflement L’mterppercule est large^et
arqué.
La bouche est petite, peu fendue ; les. deux mâchoires .portant
une simple rangée de petites dents aplaties et pointues : Jesjlènls
pharyngiennes sont en velours. La membrane des oûîes a six rayons.
La dorsale tf a que des épines assez faibles. La' pectorale est' âséëç
longue :
B. 6; D. 11/ii ;.A. 3/105 C. t?;P- 15; Y- lÆ-\;
Les étàiïles paraissent ^ ,oir‘ êtçèrp 'e f l ï p 'l a lîgnës latéraleest
marquée par un large raBàn ' foùcé parallèle au dos. U y 'à entre
les Ventrales e t dans leur aisselle uiae; éeaillelongup' et; ppitatuéi >/■
Ce poisson, tout décoloré: que nous FaVonS % êôédré!dési
reflets argentés et des traces de figues dorées le long des flancs.
Son anatomie nous montre .un petit estomac conique, pointu,
à branche montante très-courte, avec quatre appendices coecales,
longues et grosses au pyloraLfintestin est court, ne fait que deux
plis; le rectum se termine par une dilatation remarquable. Là vessie
aérienne est simple, arrondie en avant, et terminée par deux péf’
tites cornes, qui se prolongent peu au-delà du prèniier interépi-
neux dé l’anale.
La longueur du seul individu, assez mal cônsêrVé, que possède*
le Cabinet du Roi, est de sept pouces. -,
DES» PRÉNIDENS(V |
Forskaï a laisse dans' sés:,‘nofës manuserïtell, mïselr en
ordre et publiées par Niebuhr ( p. xv ) , une tres-cpurte
uot,içè sur un poisson remarquable par ses dents crénelées,
derrière lesquelles en sont d’autres, globuleuses. Il
le nomma sparus crenidens; les Arabes de Djidda le lui