a oMifeujet ^'êtutiQus né ' trouvons prieijadse> Relatif au bruit
que Jsrafen* ejketidre ; quelques,ispaues^r.dau-s'.liés divers
auteurs ■ qqe.ia.Qus,kvdns> consultés.
:^Ôutoi.ii^andL\!idu& de $ajles> et de ^aifeeijieaidnt
u©és
et de Maït-e^tM. Geoffroy Ta prisse- à Alexâhdrie ^M. Mar-
eeschauxoonsul deyFraneeià> Tunis ;i nous, en,a enyoyéjdes
individuss.de plus d’un pied du !ke de Biserte. Cependant
eé nj^stpas l’èspéüe' la plus afrond&te." ; s
Tous- ces témoignages se) rapportent.^ la Méditerranée,
a l exoeptiom du sgub Cornide; maisy comme nous l’avons
vu, on ne* sait d & quelle» espèce, ifi.â vosulu padèp-i S
Duhamel ne nous donne, guaèreî.plus de. ren&éignemens.
Le mouckarra des-Basques, qufereprésente ,section^ 5,
plvi»i,:figm, ppurrafr*^da ïPigueMîf'^Ère un.sargueçle nolp#
p rem i% espèce; maisiGettesfigure-esit si-ipeu*earaèt'érisée
q u o n la prise pour un glyphisodon-; et< dahsSseSÿddstractions
perpétuelles, Duhamel8jJ|j fdrt capable d’avoir mis une
figure-ipoûr umjiputre. Dq'-rjeste*, aucun auteur; ne pirait
avqir placé ce.sargue.surmos^ôtes occidentales,'tet nous
ne Fen avons jamaisueeui tr
;v1;,.Z^Sa-r^
X *Sargü's- Sa bsiârii^ pob; a )pb
Un sècôn’d sargue que la Méditerranée nourrit sur toutes5
ses cotes', , '
y a. le museau un peu plus^vancé, et leprofil un peu plus oblique
p.l^Aldmy., W m m p. B K f i H B l Brünnich,
f 3®»'“ * * * i$ ^ T P * » tà z z p ; «ii8o,-2K éd., v r& z jS a r& s -m ig a n s , G & fg S ft
J%ypte, p l. i 8, %. 2; Sparas varatulus, Rafla., j$&e. .Spec.\SiciL,p, 4g j i i l s .
qué le précédent «l^. iîuque est. élevée ;. la hauteur du corps est
contenu^ décriai® et demie dans la' longueur totale. La longueur
de’ la-.tête'estiàipEoportioîndhcmêm« ; mais l ’oeil est"plus grand, et il
est placé.moins.-hau&surda joue.; Le front, éntreles deux yeux, est
relevé en bosse$vcé'qui n’a,pas lieu dafis le sargue dé Rondelet Le
s@usf.‘orbitaTFe'est-fpMis- élargi, en arrière .,, de façon qu’il recouvre en
entier le maxillaire? il se porte beaucoup pim eU;#j*«iërë sur la
joue, et-remontejyers l’oeil en faisant-un.-angle presque droit: tout
l’appareiLoperculaîre est fait» <91 même. Les lèvres sont plus minces :
la supérieure est large et plissée à peu près comme celle des labres ;
l'inférieure av aussi,,ce, petit - tubercule que psâ déerit^dàns l’autre
.espèce; maison np.pentîl^psæcpvpir,qu’en sôulevaxrtle bord replié
en dehors ^e?<|ëtte|pvre: >
Les'môisives^èônt en même nombre, mais plus étroites et mserees
plus.,obliquement! sur les mâchoires. Les molaires de la mâchoire
^supérieure', quà/sont derrière les incisiyfes ; .sont plus petites, et il
y en ayde même dqux ran géefe dans le.-fondde la mâchoire inférieure.
‘Laparliemolleï dalajdôrsale et l’anale sont plus basses ; les rayons
épineux ,d„e la dorsale sont pîtls grêlés, et la queue est-plus profbn-
. dément}fourphuej il y a un-rayon mou de plus à la dbrsale et a 1 anale,
en soyt-e que»les, nombres sont :
D. A1/1%. A. Mgg C. H 5 P. 14 ^V. 1/5.'
Le-surscapulaire est plus grandi et les"écailles, qui montent de cet
^Msjàjers’la nuque, sont aussi'plus grandes, plus striées. Les écailles
du’ ©orps elles-mêmes sont plus grandes : on n’en compte que cin-
• quante. environ dans la longueur et dix-sept dans la hauteur. La ligne
latérale estjr.ès^b.rtement marquée par une ligne, large sur une série
Md’écaijles plus petites que les autres; elle est parallèle au dos, au
’ tièrs supérieur'des flancs/, .
Ce sargue brille de copieurs beaucoup plus vives et plus helles
que le précédent. Son front est gris; une tache dorée est au-dessus
de' chacun des yeux. Les flancs sont gris doré, rayés longitudinalement
de lignes dorées, brillantes, dont c in q très-vives au-dessus
de la ligne latérale, et dix plus pâles au-dessous. L’espace triangu