y!Üil trait brun rioirâtre». .très*fou$éV suit ;la base de la
dorsale, Les nageoires ;sont>a^Oàdies^ «eMynoirâtres.; ,,
■ D- j p p . a, i t ï k s t l m m
Les épines de l’angle det ropércmé sont fortèib' ;
' ' Jupr^ ^ e ,sèpt~jfoùces pie lom t ‘
Il sbéli pris dans la râdé^.dè l’île Bourbon.
Il s# ;p o u rra itrb ien q u e ffit.ne fût q u ’u n in d iv id u mieux
conSeyyéfde mQjt-rè mérou*, nuageux. ,.
* *> lue MlKân'æRYtHa^fl^“
(iSerrànùs erj^hfcebsi^^&^jf^ ; ■
L e mémfefnAturaMste^'^ ^ prm dàùts ^ la iaaÆûme ip d e tu n
m é fp û semblable au prééëdentari&
par la^petité^e des$JscaiHès^|>ar leu? Nombre ^sùr lwf?®à^ê8îr^ ^
mais" qui s’en distingué par Ke^r^BateêJTO^^p’eS-denttîl*
niéppeieule, qui est ari ondi- le*, nageoiies-le sjjnlmussi.*LesuH)m-
, hres des
- D-.9/Î6 - îqB fp ||l^ .$
Le ép rp srp arak |^> ^^ e^ ^b u ^ , uu p< jr ^ymn uni sfi1ï le dm?
sans auctfnes'it&obekî Les> pectorales et* la sto*tft£ p-res'hue
noires. Là dfersalM^eê l’anale paraissent a> oir ftfffllbj:ûri,esy,rojnitie
le Sml3 ?s*^^trales^ sont iâuÊfMxésr*-'
Ge peut ‘poisson'jtfa ,que cina-nohç|&_i
Page 2 4 6 . »Ad’âffen, A P.article du imér6ù\fcÉat•hpsfô^mgarjg s:
La même yatietéise trojïvèsur lé s â t e s de la Nouvelle-
Irlande. MM. Quo^&set 'Gaimafrdï.l^it pêehée.dans- le
HavreLCarteret pendant la relacbe qu’y «Refaite le capitaine
d’Urville.
Ce poisson7 frâi^^ÉÉnd’utî beau jauné^gomme-goutærfet couvert
d-un - grand nombre dë-M$Ëesr hexagonales r'buges.:,. ;
r 'Les mentes nalàiraKstes’tm t rapporté1 dé d’Isle-de-Frarice
U'ire^^L-rc v a fii^ '^ lfi't'a ^ e l plus'fgrdsses', ’et par conséquent
oinbr-eukte; mais qui àdfs^mêmes nombres
de raypms^t! ét‘,rtpîf différence.
Re.ndantraç e .n i ( 'n 'iS o ^ ^ d ( ^ spjlés navigateurs ont pris
a«|lSsîSrîl^^SW%g^^I?on un tnèpou’1, tacheté, qui a les
^.e qui ie^lleêrtainemeiit de
ce l l'e;}es>jof% ^ ^ous ayons yjy fiaÉpoisspri avec d’autant plus
p i plaisir, que ^Oinsî ayons tout lieu dp croire que c’est
lé \ oi^fjlllcf/ra d’Osbeêi.'; Il a pour
«aWonSI^ Msaux \ fi/I6 ou -i^/17, f#mme l’a dit Osbeck,
^efi comptait lep^rnièrljp'OÛàlàdieTax. -
1 * ,3pT|sh’àrücled^ï?rQu Û[tac^è's^eMg'omî, ajoutez;
* ■'- ’L e Mér Epyô ike. ‘
^L^iSeip^dÛMs nmmeephJiP-Qh^)
U n i auffl s A f f a m é^où tacnepe, qne l’on doit encore
W ^ ^ K ^ 9 ^ 3 â ^ ' - ‘P a^m"rd ^s e distingue du merra ou
,du fayeatus. s
paf'F^t^felé^d’ay^M en>ânàèreidu bord montant du préopercule
jXesMmeniri?i dentelé/L’am^&ànçondi n’a^ue deux oU trois pointes
faibles. L’épine moyenne de l’opercule. iÆsi IpUsue et forte. Sur un
fond' aris fottlllfei' argenté vérs le ventr^,ljlé*corps est couvert dû
t^ ^ ^ n o m b r e f e ^ ’ îllmdes, -rousëes surlle dos et lësîcôtés, et
\ ro u g e âû èF 'IS ^ i 'Ÿefïtrë el'l^^K^e. Les taches sont plus petites
■ 'sur les nageoires ,ttS|%es’ .sur- les )pçc,tq raies, et noirâtres sur les
autres, qui sont.bordées d’un* liseré blanchâtre. Il y a Sur le-dos
trois*,^fandes tachés ifprSs : là péeniière, à la'base du* quatrième
et d®*'^cinquième ^Syon épineux de la dorsale'; la seconde,- à la
l-Ib'ase dl§ jtrois’.derrfÛres^eÛin'e^ieDla troisième, derrière la dof-
' sale,- s ’*de la queue. Tout le dessus de la tête jusqu au