nous assure quon la nommè^lïssi^à™!^ Martinique petite-
gueule; en sôrtfe’ que c'é 'nom gïStfêriqüëi'*'
Ses proportions sont à peq près celles -d f^ p p io n : mais,, le|
deuxième aiguillon de^on anale^esj.hign jfius .çqurt à proportion,
- il ne fait qtae, le cinquième de la plus-goçande h ^ u t ^ .du.poisson.
Dans rapriôn il en fait-le tÿers^ aussi le troisième ^aiguillon^tr il
dans l’espèce actjjplle plus ]png qup le, deqxi^i|^!^op.
museau,est un peu plus large, et, Sun profil r^oi^s iqégal,;Ses-npm-
bres sont les mêmqs^et £egrcouleurs paraissent^èsrS^njM^ifiles.;
• P. sW ; A. AfojritoEsi
1 Aucun de nos indiyidüs tfït fglj^Ée cmq poucës, ;
Nous, qrqjons ep recprinaître fesnecgl t l fis un dessin
que nôùs a donné M. We^ÜH-dUA "re^isen-fe n n 'p jsm n
de la Havane-, nommé mojarra-de-ley -@ji mojarrita-
de-ley. Il se prend en grand nom-bje dans’le p(©r-t, èÉm’^ 1
a jamais ^Ueiàe cinq à sept pojtioe^-de. longueur.
Le squelette-de ce geires, et probablement < elui^Mtlms^l'et,
autres, est remarquable par deux @rconstOTpés princ'udlr^^ ^ I,t
crête frontale', arrivée entre les^yeux ,'1,'y^fürqué \ i lalLsefèii
avant un. espacé triangulaire, dans lequd les ^>opïi\îés montâmes*
dé la mâchoj|| infériéur.e remontent quand la jbQuc5 e^‘se:Jetoreÿ
2.° le premier interépineux de la queue'est; grancl eV cjjeuse .^iiunep
un tuyau déplumé, a in â ^ e ^ ô u ^ ayons déjà vu •d '^ i|^ c lq u e s
pagirès; n y a neuf v é l ^ i ^ ^ a ^ ^ n i b l e / fk trkze ^ au® ? ^ Les
côtes sont grêles, et n’ont chacune qu’un appendice,^
Zié' G-ËRRÉS A DORÉAEE ^t-hOBÉE.
( Cerises b ilùbuS/noh)
M. Jubelin^ gouverneur du .Sénégal f*et 'M; Rang, ont
envoyé, le premier de Saint-Louis, et le second de< la
rade de G orée ,.pn gerres
dont le4àt proportions^|i|tl|ïf|)éû-fprèsJ celles àat;gula, et dont les
,aigwi|l:Ô!usiç$ônf aussi àpeqpnèl semblables; mais lus derniers rayons
épineux, défilai dorsale sont plusncbilçts, aaeAffliiSfait' paraître -cette
nageoiçe»fetoime;i difâisée. Il&&*à|i|iiuteropnrqule une dentelure
ifinie-i'eti ttls-sensible,’ qui'ma^^Màilj^pnèffl^Bpaiêï^n/a. Ifongle du
IpéopérouTè est 'aussi moius^iîrdiidi, eê ïe museau* un peu plus
poifitik'w
D. «m0§ ,
Le jpoi;ps.est,qrgqntér, t;«y.é,c quelques reflets bleuâtres au-dessus
fpÉla ligné1 lat‘érale., 'Les lig p g ^lp ^ ^ tudifiale.S',i grisâtres sont peu
ïmarqùéêsi;,^'
e individu esfi&png de^s^ lpoi^^ fîr
€ é jpSlss owest <b ô’n ‘a changer.
Paei%uet^,-flj^fâ,,tqeç des [atjjpâ
dînèrent’les uns d^^ufl^'tiipfhme'i cepx 4fH,l oeéan Atlan-
tiqud,3apar lëtîi hauteur • relative et la leurs aigu
® difs ; ' maï^lthîgufe d’eux n’’a 4 es; ;aiguillons^ âuSÿLfbîtS
que les‘ /premiêyeÿ %sp è T ^ ê ^ k p ? ’Atlantique.
Le/GERÈES p p
(yt^rr.gsï^eFüfiaiiïûü y
i 'm m m m Garnot dp Paita,
dans1 le PérÔu^^|iffen^rronal, *lort' semblable' au gerres
Plumier-fy1
mais d’un blanc d'argent, très-brillànt, .teint vers* lêidbs d ’un léger
viôlét. S’il y a dès^l^lès longitudinales’,' dlgs ‘x’ont ' des produits
de reflets î'plutôt 'que d ’ùne 't'ëihte paiticulièrè. Ses-aiguillons du
dos-ipïit plus ttPqUfés', ët pltH^ëo'üîtÿqu'au Plumieri; le deuxième estr
moins fort, a- propoi;,tio1n;ï, e't> Surpasse peu le troisième en grdssèqry