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APHÀREÜS. 569
Z ’A phAREUS R0UC3É£**
( Aphctreus, r1MilaTi$'£*fioh. )
L’aphareus de la mer Ronge ou le fares des Arabes
offre les mêmes nombre^ de' rayons e t , à peu de chose
pris, les mêmës formes que,celui de l’Isle-de-France.
Il parait seulement que ce sont les quatrième , cinquième et
sixième épine,s«de lai^^âle.-qui Scglévent le ,plus. Il est plus élancé.
Sot M#sr- orbitaire est plus alongé et moins haut de l’arrière. Ses
' pefetorales et les lobes, de sa caudale sont plus alongés. La couleur
dfe sa tête’ et de son dn§j$;st un rougeâtre à reflets briUans, et celle
de- sqn abdomen un bel argexîté^. Ses nalgecpreS- sonV rqsées.
L’individu' rapporté par M. Ehrenberg est'lbn^'de dix pouces*
M.^RuppeLén a donààun de dix-neuf pouces au Ca-
biiam du Roi; il le nommait^ychla-fares.
upMoctase-moor de Renard 166) rend trèsbien
;j§ês fprme^pt &es> couleurs, f. l’éxceptidih de la dÙE-
sa|§^ dont la partie molle se. relève plus que les dernières
^inë^eev qjai n’est pas dans le poisson tel que M. Ehren-
ber'gil’a rapp®ïtë$#K
Mous avons lieu de croirg que ce nom âe toctase-moor
n « q u u n produit'ded’ignorampe du graveur^ et qu’il avait
stfus les. yeux ceux de foetac o f fo r r [foutac ou f o r r ) ,
tels que nous les, trouvons^ écrits dans Vlaming, et que le
premier du moins e,st confirmé par Yalentyn.