jusqu’à: la'base de ; lav c^uda'lè .est'".du plus beau jaune d’©4 f§tO$ït ce
qui est au-dessous est .ar‘gëÿt&^felâcé'/^®^^- ,La' dojsalé et la,,jcaut
dalé sont d’un gris tirant à l’o f a n |^ p |l pectorales jaunâtres,
ventrales et l’anale blanches. -
D.
L’individu est'long de'-sl'x'pouêesfv
* Gette' dfeëription est prise d’un d^lsW'enVéyé par MM.
Kuhl et Van Hasseltllf?
L e * J^ sro X crô'
. ( Ga%sio: lunaris Jr Ehr,")
' La meri(ïes: îndes qjpa mer Koüge^nTCTduisèn l un ê.æsiô"
qui, avilitous les cara©tep|§ deâÆpr,qèë^î^î^^,
mais un peu plus de. hauqm'rjprop^tiqhnelle ^®lle n^êjyu.ifîs la
longueur qugvti^^ fois etybux lipv-TL ayeMà inuquc uriypt ui b<ma*
bée et le museau plus court, n’à ni kmd;? jaune ni bande «îWe,.
Il pafaîtTentièrement bleu d’^iÉfeà la jpaT.timsup'éiuëuï'el^èfegfgènté
à ia partie inférieure. Sa-'ïàüdale esfrJ3É^é^l^®-les bord i ;<JésWS)b;ès
noirs? Ses petetoralès .cLsgsfy empiles, j.ont jaunàties.g fcfeSfi1 rt>1 e-.
ont la tache noire de l’aisselfe et le petit tainl^ noh dlu. ^ i cî anlc-
' rieut comme dans les precédens.
B. 6 ; D. 10/1,4J A ^M c ^ î ,jP , K ; ! » ]
Les viscères du cæsio lunaris diffèrent-peu de ceux êu‘^(ésii> ülr.
Le foie se uomposfe^ d’un seul lùbè'èarré ,-situé dans l’hypo-
• condre gauche. La vésicule <Ju_ fiel est suspendue ,|f un-^^s4ong
canal cholédoque ; elle est elle-même éwoite et alongeei -
L’msophàge est plus long et plus large jvet 's'a muquéusë'^t-néx.
• . risséë 'de papilles plus fortes.
L’estomac est plus petit ;. sa branche montante naît aussi auprès
du cardia 1 mais ellemst cyhridriqne. •
Les cinq cæcums qui garnissent le pylore, siont gros etîtrès-longs.
T figgh^émts d eux, rèplls ; mais de plus il fait plu-
: ;vsieurs '%^uâfï|é^Hahs:^|ùcun des replis.
, La vessiematatoirOest plus:petite pes parois sont minces,argen-
%^-ë,e^, tranqiarenïp^iel comâ^ membraneup^^
' ^oué'«'êmàvons un individu long de neuf pouces, ap-
|S t e ‘<lê la Nouvelle-Irlande par MM. Lesson et Gamotj
ët-il y'ë-ma un d’un pied au-Cabinet de Berlin, recueilli
dâïïs^fo%%SB'0ÿ|e pari^Ehrenfeerg. Ce /(fermer a une
teinte rôù|ë^Belsur |é s 'V ^ t ^ K f ^ Tiei;ire’s et sur les na_
jlpoipçs pJpis*. M. E h f é h |i ! p l’avait nomme cæsio lunaris,
sans doute à cause de là -langée d’écailles.de sa nuque.
• ' l|"'^4rotiV.e bonne'figure de ce1 poissë'iï dans
feîiÿÿèÉfe'de^Ylaiûin^ ( n . |l& » û & l e nom de wackimi-
J |f f d . La f i g u r e , p l . 3 ||j?de Renard, intitulée w -
ôi&Ctft-Tnarè/e.n eSt/ifne^fepie Jma^fenfidelemcnt coloriée,
l'f^ffeiÿtsMrant pluLÔt'fs'ëhis f|§fapport deàYcouleùrs, l’,es-
p<ppe 'qui va v'y’
evts£'elCÆSIO-A VENTRE ROUGE. '
$(Ctrsio erfthrogasteT%, K. et Y. H.)
MM.’ Ruhfiët Yan'HasS’elt ont envoyé de Java un cæsio
enjetS plûs haut^et plus'comprimé que le précédent,
qu’ils avaient nommé cæsio erjthrogaster.
Sa hauteur.n’est’qüe ,tr ois^fois et un quart dans sa longueûr, et
I Q I épaisseur,n’est que du tiers de sa hauteur. Du reste; il a tous
les caractères de son genre. Toute sa partie supérieure tire au vio-,
let ," et l’inférieure est argentée, teinte de rougeâtre. La pectorale
parait grise dans son aisselle la tache noire ordinaire. La dorsale
est de la couleur du dos. Les ventrales, l’anale et la caudale
paraissent d’un jaune rougeâtre, et cette dernière a un léger liséré
grisâtre.