double série de points noirs. Cesf bandes s’effacent à mesure que le
; poisson grandit, et ne paraissent plus.du ^qut sur»l’adulte. ;
No'us^kvbhT vérifilPbéttë disposition de rcdüléùrs sur
plusieurs in d iv h fh sç # nous n’en ayons jamais rencontré
une semblable 5sur les daurades dé hbs mérs. Cest ce qui
nous porté à croire que la. daurade donnée par Bloch
(pl. 266) commeja vulgaire, était une Rétine dé-de'tmès-
pèc§ du Cap. La figure En v ien t parfaitement. MM. Quoy
et, Gaimard en ’ ont rapporté de leur dernier hfciyagé Mes~
individus qui n’ont que|cinq poùces de long, et MM. Dèla-
lande et terreaux, de grands qui ont près de vingt pctuces.
ualnaromte dé _£ettë d’aufadg1 nous a fait jo ir qu’eÜKa un petit
"T^ em acT avec quatre coecunis- courts au ^W é ^ e t 1 injtestxnMg
longueur' médiQCTe.Jraié deuxf fois- sur lui-nreme.{ Lej|iamètre du
recuira. estdû. double plus grand que celui de' l’intestin guêle.pL'e
péritoine est noir.' La^eSste aerienne est, grande, a paroi s'minces
*'-èt argeîxteël. *
■ On compte onze^yertèbres-àbdominales etiréhè-pour, la .queue.
Le crâne offre une, crête, muoy^ne^éfevée^deux «Jàténüès irès-
A"-Kàsses : laîtase d e là mitoyenne nè.-sk^]&è^mjej>eupu-/lelà,du
bord, ppstenepr âë forbite ; •■ej, ^^Ta iit de^eêïe^^èt'ëlés^fn^nqiux
çsontffbleVes en bosse, comme calleüx, et pôntîib^ént à «donner L
la êguré de lâ-itète cette forme Momueuse dont noui avons^tire le
* ndm’sprecîïiquë'dë cmpôxsson.
Kolbe parle :de .cette daurade du C’apqdans la relation
de son voyage', -et. dit que l’on egi fait une p â ^ é .sp o n -
âante depuis le mois/dé'Mai jusqu’au mois d ^ o û t. Bloch,
ayant regardé la daurade idu Cap ulgmme dq Jn meme e s pèce
que celles de »nos mers, avancera, tort que la daurade
vulgaire se trouvé dans les mers du Cap? et il a fté copié
en cela par M. de Laeépède?!5^
" La D aurade sàrbeS;;,
ou G ueule-P avée de l’Isle- de-F rance.
. j i 'Ç h r y s o p h r j s s a r b a , n o b ,1)
Commerson a laissé deux bons dessins d’un poisson sur
lequel j^ i ne .trouve dans, §,es., manuscrits qu’une notice
incertaine»:,ilS-,sont' faits..à la pierre noire, et cette courte
indication: Sparus, yulgo.Zcz gueule-paÿée* est écrite sur
chacun d eux dgtïa ;main 4^.,ce célèbre (voyageur. L’une de
,Ç£S figures est dQSéadfe^après.mn^hdividu adulte et long
d’un,pied e ^ d ^ h ; :e l le ^ t aus^i^detaillée qu’aucun natu--
^puiss^ le désire,rr^L^s^mdcbqisfiftf^ont représentées
sépay^rhent, :iëi iR^ p facile de v oir que ce poisson, nommé
gueule-pavé^,risle-dte-JFyanG^ est du genre des daurades.
&e djêssiniva ^ té -'gEayddanSîi’ouvrage de M. de Lacépède
(t. IY, p. T ^ p l. a|,d#g-.p) ,jqt est yteVenu lç spare bufonite
dc .è'ét auteur.-*.
:Quoiquelt|ËQinmé-rs,0n aib^eu lg soin d’établir par ^a ëote
l’idep$té de figtire, ayqQung: autre faite d après un
poêlon plus^pùs,,^I.,'de'Laçepèdë^en a pas moins fait
graver cétte séroüjié'Sür la meme planche du même tome
comme une ;espè,cô;distinote, sous le nom de spare perroquet*.
Il nous a?e$e/fadle de réparer, cette! erreur, et de
1. , Faun. amb. ,,ii.°.MjiSparus sarba, (Sinël Ladèp-
Spart to/awtt,(Lacép., t. IV, p. Æ pI.M%f ¥ f Spare1 perroquet, Zusd., m ! 3; Renard, fol. i; -, 1 y > ; ' W /***** **f-*\1 < \^x
(îue CroJônft pouvoir rapporter une
description faiffg&r la c^te^ausfaà^e Madagascar, et que nous avons trouvée dans
içs manuscrits-que M. -Hammèr Aoùs^'comrhuniqùés.l}Ge ;qüi j e$t dit dés dents
n’a Pas encore poussé sa grosse dent ovale- et quant
P « lig n à brunes doiéesjau nombre de dix sur
j e - 1¥nc?, <im sonr’brunVvers l e m et plus pâles au-dessous,de la limé latérale
Ees ventrales sont d'un beau jaune d’or. L’anale est moins vivement colorée ’