réduire à unè seulé 'ë^^^éfe’è double emploi^ ët M. Julien
Desjardins, nous ayant cf|jëeefte gueule-pavéede l’Isle-
^p-^rance, nôûs.a^â^à^jemè riija? cons|a(^&9;nipl^éibL.ent
l’espfl^. Il paraît ^cependant qUe les habitan^ ^ ^ ^jgtte
colonie donnedt encore ce nom* à d’autrgs..poissons. Nop^
le trouvons deux autres fois* dans ïës manuscrits de î|^ ^ |-
merson : la première, pour une autre daurade, dofi# noiïs
parlerons tout- à l’heure; la seconde ƒ pour un poisson que
nous ne «connaissons encore qu’imparfaitement par la seule
description de ce naturaliste $ et qui sera probablement
le type d’un nouveau gèfrre. de la famille dqâ^spiénloj&îsi
M.- de Lacëpedë<en fait son spare myrlostome; màjs'ëë ne
peut- évidëmment^êtrel un spaftept*'
La pférinèfeê de tombes: dès^gueules-pàvées ,r ©elle-dont
nous parlons dana le présent article ,^jheSt^pas restreiînte è
risle-de-Franee. Forskal lavaitdéjà décrite av^cmne exactitude
qui ne peut laisser le moindre douté;'LèS‘‘ë'oüleürs
qu’il assigne son sparus surba sonU parfaitement les
memes que celles des individus arrivés dëTIsl'erde-FraUcèl
Xes pécheurs arabes ,Jde?-Piidda :c.dnnaissfejit 'dë; pdisWa
sous le nom dWid, Il a paru #Forskal quë^était le meme
qupétait nommé à Suez kofar ou sarba^ n ia is e s >déiî0-ij
minations -sont moins généralement connues des*Arabes
que la première.
M. L eschenault^ trouvé} auSs^ la gueulV-pavéé’;sur la
côte de Coromandel. Comme les individus qu’ilia rapportés
au Cabinet du Roi sontfplus adultes que ceux de l’isle-.
de-France; nous allons d’abord en parler. |
lis ont près de onze pouces dë'long. Leur forme est semblable
à cèllê'de la daurade ordinaire, et les dents ne sont pas très-différentes.
Les six dents inqisives de chaque mâchoire sont un peu com-
prim^siiet mousses1. -Les dents rondes,. qui pavent la gueule, sont
plus ; égales qt .enjalus grand nombre que dans la daurade de nos
cofeS DanSileuoml. de la bouche J ly f a une grosse dent en ovale
placée" sur fe ‘Cbàiifeièriiê' rang à la mâchoire supé-
1 îraèii^ i';ët ’:sur .Jllftkécond en bas*,1 ët ÿ est séparée par une dent
air^onâip, plus.'grélsse que les autres. Les rayons de là dorsale nous
paraissent aussi un peu plus forts et plus longs que dans notre
daurade. . D u/làlf Â. 3/li | M 17 ; P. 15 V-'A/S:'» ’. -
î)écaille pointue de l’aisselle dès ventrales est'aussi longue que
leur dernier rayon.
Là ’noulè'ilr paraît argentée, avec dix à doùïe lignes brunes longitudinales
sub ies flancs. Il y a une légère trace de croissant doré
-enjfe les yeux..On ne Voit pas.dfi'tache noire à l’épaule.
Les individus moins ^âges, que nous devons à M. Julien Des jardins
, n*ont que neuf poupes de long. La grande dent ovale n’est
pas ' èndoyê ^sortie. Suri'un' fond 'argenté, on compte au-dessus de
la pectorale dix à onze bandes longitudinales brun doré. Une autre
è'ourte- et brillante- d’ôr pur, est entre la pectorale et la ventràle.
Le bord supérieur de la dorsale est brun, L’anale et le bord externe
-dû lobe inférieur de la caudalejSont jaunâtres. Les .ventrales sont
djunlbeau^jàune vif, teinté de rose. Ces couleurs ne diffèrent pas de
îo|||esj que M. Desjardins a observées sut Ie poisson frais. Il y a
compté-plus de quinze'lignes le long des flancs, dont les dix supérieures
étaient plus fortement marquées. On voit que les inférieures
jse sont effacées dans ï’alcoôL
Suivant M. Leschenault, ce poisson atteint à un pied et demi, et
quand il est frais,jPâ le dosfgris et le ventre blanc, et ses côtés
portent des raies longitudinales grises, plus foncées que le dos. La
ligne latérale est fortement marquée par un trait gris.
Des petits individus,1 de trois à quatre pouces n’offrent point des
couleurs différentes de celles des grands ; mais à, cet âge ils n’ont
que deux rangé§s„de molaires rondes, et grenues.
Nous n’avons pu voir de l’anatomie de ce poisson que la vessie