poissons de viilgt anfoe^ genres , tont !/fii^i étrangeis lés*
nns aux autres*. C’est ainsi qu’il .parvient «ilùjompter .cent
soixante-trois prétendueS espèces du genre spàrùs01#- baissant
pas néanmoinsvd© Caractériser ..ee genré comme Àrtedi,
et n’hésitant point à attribuer à la plupart «tes espècesides
dents en forme/de pavés*. ' .
Beaucoup moins' nombreux dans le. Système posthume
dé Bloch, où,il n’y en a que quarante-nexîP espèces-,, le
genre sparus ne laisse pas que d en tenfermer encore huit
ou dix, qui n’entreraient pas dans les sparus, même; avec
l’extension qu’Artedi leur avait donnée^.1;,
* Ainsi, après avoir écarté:.toqtes ces-espèces hétérogènes,
après avoir séparé des sparus d’Artedi lès espèces
seau protractile, ou notre famille des ménides* il ne nous
reste, pour compqsèr ; celle ides- sparoïdes~, qi^é- ceux des,
spares d’Artedi dont le museau ne se. jette, pas en avant ,
et qui n’ont ni dents au palais ni aucune armure aux
pièces operculaires. Cette dernière circonstance, jointe,à.
Fabsence de toute cavernosité, de tout renflement au
crâné, les distingué des sciënoïdes j i ’absence d’écaillès sur
les nageoires verticalesjes distingue des «quammipennes,
et la grandeur des écailles d u corps les séparejiëfe seom-
béroïdes.
Ainsi réduite, cette famille possède encore des espèces,
assez nombreuses e t assez différentes entre elleS*," pour
que nous ayons été obligés de les répartir en plusieurs
genres.
Pour cet effet leurs dents nous fournissent d’dxcellens
1. Sparus fasciatus; Spams chlorurus. (sont des chéilines)^ Sparus falcatus (uii:
l?bre) ; Sparus radiatus (une girelle) ; Spams, lunulaius; Sparus malabaricus (des
mésoprions), etc.
éaracfcèresiffridiapirësjbesqudfe nous iës; distribuons d’abord
ém quatre' tribu®1 ^
. 'Dans la premiè]^ l^^nm®lloires ont *sur les c6tés des
dents*#,fondes' en forcée de pav^Ê»; dans la sbcôsd©^. elles
n’ont-que-dès-dents—coùiques-et- en- crochets ; dans la
troisième, l'es'nents sont en .yelpurs^..enfin« la quatrième
a autour de chaque mâchoire une rangée de dents tranchantes.
: ; M .
Chacune de ces tribus peut être subdivisée en genres
d’après deè '<
La tribu % molaires rondes a- les. dents .antérieures tranchantes,
o-u coniques ou en velours. Dans le premier cas,
on a iç^gemre dis sargus, si i^antolair'es sont-sur plusieurs
rangs, et genre des charaoe,~&hlelles sont sur un seul
rang et*très-petites; dans le second on a, avec des molaires
sur plusieurs-rangs, le genre des*daurades; et avec
des molaires sur deux rangs Seulement, lbgenre des pagres.
Le genre des pagels a lés molaires tantôt sur deux, tantôt
sur plusieurs** rangs ; mais ^toutes les-dents antérieures y
sont értvyèloôrS;;ÎJ'
La ^deuxième tribu-, o libelle à dents coniques, dont
plusieurs s’alangént en canines, se divisé en lethrinus,
qui nptit pas d’écailles sur lalqôtie ; en denteÈêk qui ont la
io ^ ..# a illeu sè 'e t au moins quatre canines à chaque mâchoire,
et en pentapodes, dont la joue et les dents ressemblent
à celles de® dentëx, mais à qui leur forme moins
élevée, leur bouche moins fendue, armée seulement de
deux canines à chaque mâchoire, leur caudale plus écailleuse,
donnent une tournure particulière.
La troisième tribu, celle qui n’a de dents qu’en velours,
ne comprend qu’un genre, cèlui des caniheres.