• seuses, et se nourrit de plantes marines'y elle fraie au prinr
temps. Sa chair n’ést- pasifeStimée. X
L e B o&ue dèT G orée. ’
( B o x !goreerisiS j nob. ). ;.
La rade de Gorée nourrit un bogue très-semblable a la
saupe,, .
a le corps plpslong, la tète phis. étroite, le, mu,sea,u moins
arrondi, l’oeil plus grand. Il n’y a point de grand pore au-dessus
de l’oeil, et ceux qui nercenjt la peau du sous- orbitaireSWt plus
raies et à peine visibles. Les rayons épineux dé la djQ&àle sont
plus hauts et plus forts. Les nombres sônjf'les' mêmes. '
D. 11/15; A. 3/14, etc? ^
La ligne latérale est plus droite et moins visible^ iLjes* couleurs
sont aussi brillantes que'cêUes de notre saupe. Sur un. fohd' argenté
on compte six bandes longitudinales et dorées. Mais-eïv qui"
distingue aisément l’espèce ,,;c.’èst qu’il n’y a -point, de tache dans
l’aisselle de la pectorale.
La ' longueur des individus rirÿoyés1 au Cabinet du'Roi par
M. Rang est de six pouces. .
L e B o g u e s a l p o ïd e .
(jBox salpoides., hob.)
Feu Péron a rapporté des mers de l’Inde une autre
saupe, très-semblable à celle de la Médite rrané ee t encore
plus à la précédente; car elle manque' e^mme elle,
de tache noire dans l’aisselle de là pectorale!
Le corps de cette nouvelle espèce est plus alôngérque celui de
notre saupe; mais il l’est'moj-ns-que,celui de l’espèoé de ÇJorée : elle
d i f l P è - E f t , . dernière./parce .qu’elle a l’oeîl plus petit,.le
muséâùplus.arrondi, ét^le chanfrein plus rej^é. D’ailleurs, ce sont
les mêmes ' dent^^es’méniés noïnbresdg rayons, individus paraissent
d’un jaune dofeeuniforAfe; mais cela* tient peut-etre a l’ac-
‘ilM de l’alcdob Ceux de?P ë r '^ |l 6t riri-(|'policés’iWflong, et nous
e n S oe / u i i , un p,eu plus grand, que no<üs?.devons a M. le docteur
Leach.