LIVRE SIXIÈME.
PA R T IE IL
D.ES M .É jN ID E S . J
; Nous<v,e;nons de donner, l’histoire d e s quatre tribus qui
forment la famille Je.S} spart^es* t e s groupes, sont faciles
à reconnaître»ifitlla gombinriiaon des forums de leurs dents
nous, a fourni des caractères ais,és.,à-exprimer, qui distinguent
bien entre euxj {soit fqes tribus elles-mêmes? spit
les-differgns genres dont la, réunion les ,,qpmgqse;v
Il noué ilQSïte ^àvparler de poissons quArtedi a reunis a
ses spctruSj et qui bnt en, effet, avec ce genre assez de res»
sembknce^ mais, «qui .s’en, distinguent par la protractilite
de leur 'museauq Lgs disparates qu’offrent leurs dents‘ et
quelquefois Jeur préçperqule, ne nous ayant laisse aucun
moyen dej.es. comprendre avgc les autres spares sous.un
caractère« icommun, nous nous sommes vus obliges den
fprmer une famille a part,"à laquelle nous avons donné
le nom de ménides, tiré de Celui de l une. des especes, les
plus communes dans, la Méditerranée, savoir, la mendole
{spams moena, L. ) • m ' ■ i
Les laissons de la famille des ménides onfcjes dents
en velours plus ou moins ras aux mâchoires, et quelquefois
deux ou quatre petites caninef. Lies; pédicules oq les
branches, montantes de leurs intermaxillaires sont très-
longues j fe corps de l’os .est réuni aux maxillaires par une