mais il laisse ; encore Vilement voir, s u e jinn -fond jaunâtre. Mois
bandes kragitudinales bleuâtres qui partent" de T oe ^ nneise dirige
le long de lardbrsale, la seeendâ^fciàntinue autdessows deLla-ligne
latérale jusqu’à- la queue, la''troisième passe sur -Faisselle de la pectorale,
et se termine presque à la fin (^tlan'àdei .
.Ces couleurs diffèrent peu d,e çéïles que Bloelf
sente. Sur un fond jaune il donne àison poisson trais-^ajies
bleues, dont les deux inférieures vonfià la queue-: il peint
en rouge les ventrales" et tels5 pectorales. “Nous ne doutons
dope paS5 de Fidentfté sjfécifique de notre pdfesOn âfe<|>
celui de~ Bloch ; mais nous ‘offre toute! l ||f négligences
que l’on rencontre ^fréquemment chez cèTauteur :
les dents.ypont surtout très^ aL rendues,
Notre poisson n’a que sept pop^^~p§Iui de Bloclil®';
avait neuf.
• Il faut distinguer c& spams vittatus d’un autre'de même
ndÜÉ, que -Bloch a peint {jÜ. 263, fig. 2^ d’aptes les
sitis du p rin cé Maurice' de 'Nc|ss?;uiy -et qui uest quiînc
mauvaise représentation dé notre pristipoiha ^pr^i^çiini.
Nus individus desséchés viennent dë la du
Stadhoudçr, et paraissent originaires^#^ ^[oluques. NJus
croyons que ce doit être sur l’un d’eux que M, çfe.Lapéi
pèdfe a établi son bodian démcanthe; mais çammeji®fe
faisait qu’indiquer ses espèces par des^paracteres très-su Cr-
cinçts, et qu’il n’a pas étiqueté* les o b ^ s qu’il a^ dMfits^
îl devient presque impossible de lés retrouver, lorsqu^
quelques indices étrangers ne nous font pas connaître 1 individu
même qu’il avait sous.lè^yeux.
Bloch dit le sien du Japon, mais sans alléguer son autorité.
Le P enta4oue r. 0|
(JPentapusjtiïniçoi(!)r} nob.1 % ‘
Nous ne possédons d e Cëftte espèce »qu’u n seul in d iv id u
défîdèlïé^' d o n t n o u s ignorons la patrie.
Elle ressemble à ^ ïpr,écécleD.te, par sa Jforpie générale j mais ses
^ a fflcotip pluspn<^te£: ,pn en eumpte pré^t^e soixante
, ,,^aps;vla longueur,, très r.finement cilées ; le limbe .du préopercüle
* n ’en. a|p©^â\ Les dents sont fines, même. les.-latérales de la mâchoire
nombresdes rayons sont les mêmes; On ne voit
apcunevrace, dp bandelette sur le cpqjs.,.
L’individjifâ sept pouces, et&rlemi de long.
0 du tous lès pôîssons de l'ancienne co llection d u
S ta d h o u d a ^ le p ld s ^ s sm h b la n t à celui q u e M. de L a c é -
in d iq u é 'p lu tô t q u e d é c ijt sous le
n om d e bodictn Jhcjier.
JÛ& PiÉtfTÀPOPE A ^N-E’iSEULE BANDELETTE.
(PentapifLyjitta, nqb.^)"
~"ties n a turalistes d # ^ e x p é d itio n comm an d ée p a r M. le
capitaine F re y c in e t,' o n t r a p p o B é de la b a ie des ChieMs-
M a to ^ d é u x èèpèéëS .d é ^ é n la p o d e s I r p V m sm e s l’u n e d e
l’au tre ,' q u ’ils n o u s p a r a i e n t même avoir,.cqnfondue^i car
nous avons .^out lîéu d e croire q u ’ils o n t d é c rit les formes
sur lune,, e t q u jîs lu i ont*applique les co uleurs d e l’au tre .
Celle des deux à laquelle nous conservons le n om d e
pentapode à bandelette ; e t q u i ést rep résentée su r la 1 2
1. Bodian fischer? Lacépède, t. IV, p. 281.
2. Quoj et Gaimard, Yoyagc de FUranie, pl. 44, fig. 4.